Coton et culture cotonnière / périodique ... publié par l'Agence générale des colonies

Presse et revues

54 pages

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- La question cotonnière en Afrique du Nord, par Ch. MUNCK
  .......... Page(s) .......... 1
- Le coton principale richesse de l'Egypte, par HUSSEIN ENAN BEY
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- EXTRAITS ET ANALYSES
  .......... Page(s) .......... 33
  - Génétique, sélection,
    .......... Page(s) .......... 33
  - Maladies cryptogamiques,
    .......... Page(s) .......... 33
  - Insectes nuisibles,
    .......... Page(s) .......... 37
  - Sols, engrais,
    .......... Page(s) .......... 38
  - Méthodes culturales,
    .......... Page(s) .......... 39
  - Utilisation du cotonnier,
    .......... Page(s) .......... 40
- INFORMATIONS RELATIVES AUX CENTRES COTONNIERS
  .......... Page(s) .......... 47
  - Egypte
    .......... Page(s) .......... 47
  - Soudan
    .......... Page(s) .......... 48
  - Colonies italiennes
    .......... Page(s) .......... 49
  - U.R.S.S.
    .......... Page(s) .......... 49
  - Amérique du Sud
    .......... Page(s) .......... 50
  - Pérou
    .......... Page(s) .......... 51
  - Mississipi
    .......... Page(s) .......... 51

EXTRAITS ET ANALYSES 3

Description d'un « porosimètre », grâce auquel la quantité d'air
contenue dans un échantillon du sol peut être déterminée en appliquant
la loi de Boyle. Un diagramme montre la nature et la fonction de
chaque détail de l'appareil.

MÉTHODES CULTURALES.

W.- J. LUGARD. La culture cotonnière en Oubangui-Chari
(A.E.F.) et au Congo-Ubangui (Congo belge). Association cotonnière
coloniale, 1er octobre 1937, pp. 100-102.

L'auteur rend compte d'un article publié par un ingénieur agro-
nome colonial au Congo Belge, M. LEONTOVITCH, sur la culture
cotonnière au Congo-Ubangi, zone limitrophe de l'Oubangui-Chari,
en A.E.F. Il examine successivement les divers points étudiés par cet
agronome et cite de nombreux passages de son article.

La production cotonnière a progressé parallèlement dans ces deux
'colonies, sauf en 1935, où l'Oubangui-Chari a pris une avance de
plus de 2.000 tonnes.

En ce qui concerne le semis, les conclusions à adopter dans les
deux cas sont identiques, et les deux auteurs préconisent de réduire
l'espacement entre les poquets.

M. LEONTOVICHT recommande la pratique des semis hâtifs au
point de vue floraison et rendement; dans la partie nord du district,
les semis doivent commencer à partir du 20 juin, et à partir du 1 5 juil-
let dans la partie sud.

M. LuGARD fait remarquer que, sur ce point encore, il y a une
analogie frappante entre le Congo-Ubangi et l'Oubangui-Chari.

Le pouvoir germinatif des graines est ensuite examiné. Le pour-
centage de germination pour les graines de l'Oubangui-Chari oscille
autour de 45 Il est plus élevé, en général, dans les régions du
Tchad.

Un tableau comparatif est réservé à cette question. Il faut noter
l'influence des maladies cryptogamiques et bactériennes, qui attaquent
les graines et les empêchent d'arriver à maturité. Les fibres de ces
graines jaunissent, et c'est un moyen de les reconnaître et de les séparer

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