EXTRAITS ET ANALYSES 37
B. Rapports entre l'humidité du sol et l'incidence de la maladie.
C. Répercussion de l'humidité du sol sur l'infection. Des courbes
et des tableaux qui ont été dressés, il se dégage que R. bataticola et
R. solani causent les ravages les plus sérieux quand l'humidité du sol
atteint 15 à 20 A 5 %, les inoculations n'ont provoqué aucun
symptôme de maladie.
D. Périodicité de l'activité parasite du champignon qui cause la
maladie. L'attaque se produit en juin et en 15 jours atteint son maxi-
mum pour s'étendre en juillet, décliner progressivement en août et
s'étendre à la fin de septembre. De nombreux tableaux et des courbes
donnent les résultats obtenus à la suite des expériences faites. Il en
ressort que le semis tardif réduit de beaucoup les causes de maladie.
E. Prévalence de la maladie dans différentes zones. La maladie
de la pourriture de la racine ne semble pas se développer, dans cer-
taines zones non irriguées, sur des types indigènes. Les mêmes types,
en culture irriguée, sont attaqués par la maladie. Les semis sont d'ail-
leurs très tardifs, ils se font au début de juillet seulement.
Des études seront poursuivies relativement à l'efficacité des engrais
organiques et des autres facteurs qui affectent la fertilité du sol.
iSBcTES NUISIBLES.
K.-A. BARTLETT. The introduction and colonization in
Puerto-Rico of bénéficiai insects parasitic on the pink bollworm of
cotton. (Introduction et colonisation à Porto-Rico d'insectes parasites
du ver rose de la capsule du cotonnier.) Puerto-Rico Sla. A gr. Notes,
n" 77, 1937, p. 5.
A propos de travaux sur les parasites ennemis du ver rose de la
capsule du cotonnier à Porto- Rico, l'auteur rend compte de la discus-
sion relative à l'introduction de plus de 58.000 parasites du ver rose
sur les cotonniers à longue soie. Il étudie la biologie des trois espèces
importantes : C helomus blaclburni, Exeristes roboralor et Microbracon
Kirf(patric]çi, la mise en liberté de ces espèces dans les régions coton-
nières, la découverte d'un seul parasite indigène (Périsierola sp.) et la
reprise de toutes les espèces mises en liberté.
B. Rapports entre l'humidité du sol et l'incidence de la maladie.
C. Répercussion de l'humidité du sol sur l'infection. Des courbes
et des tableaux qui ont été dressés, il se dégage que R. bataticola et
R. solani causent les ravages les plus sérieux quand l'humidité du sol
atteint 15 à 20 A 5 %, les inoculations n'ont provoqué aucun
symptôme de maladie.
D. Périodicité de l'activité parasite du champignon qui cause la
maladie. L'attaque se produit en juin et en 15 jours atteint son maxi-
mum pour s'étendre en juillet, décliner progressivement en août et
s'étendre à la fin de septembre. De nombreux tableaux et des courbes
donnent les résultats obtenus à la suite des expériences faites. Il en
ressort que le semis tardif réduit de beaucoup les causes de maladie.
E. Prévalence de la maladie dans différentes zones. La maladie
de la pourriture de la racine ne semble pas se développer, dans cer-
taines zones non irriguées, sur des types indigènes. Les mêmes types,
en culture irriguée, sont attaqués par la maladie. Les semis sont d'ail-
leurs très tardifs, ils se font au début de juillet seulement.
Des études seront poursuivies relativement à l'efficacité des engrais
organiques et des autres facteurs qui affectent la fertilité du sol.
iSBcTES NUISIBLES.
K.-A. BARTLETT. The introduction and colonization in
Puerto-Rico of bénéficiai insects parasitic on the pink bollworm of
cotton. (Introduction et colonisation à Porto-Rico d'insectes parasites
du ver rose de la capsule du cotonnier.) Puerto-Rico Sla. A gr. Notes,
n" 77, 1937, p. 5.
A propos de travaux sur les parasites ennemis du ver rose de la
capsule du cotonnier à Porto- Rico, l'auteur rend compte de la discus-
sion relative à l'introduction de plus de 58.000 parasites du ver rose
sur les cotonniers à longue soie. Il étudie la biologie des trois espèces
importantes : C helomus blaclburni, Exeristes roboralor et Microbracon
Kirf(patric]çi, la mise en liberté de ces espèces dans les régions coton-
nières, la découverte d'un seul parasite indigène (Périsierola sp.) et la
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