Coton et culture cotonnière / périodique ... publié par l'Agence générale des colonies

Presse et revues

52 pages

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- Les progrès de la culture du coton au Congo belge, par VAN DEN ABEELE
  .......... Page(s) .......... 53
- EXTRAITS ET ANALYSES
  .......... Page(s) .......... 61
  - Historique,
    .......... Page(s) .......... 61
  - Biologie des cotonniers,
    .......... Page(s) .......... 62
  - Génétique, sélection,
    .......... Page(s) .......... 65
  - Etude des fibres,
    .......... Page(s) .......... 67
  - Maladies cryptogamiques,
    .......... Page(s) .......... 68
  - Insectes nuisibles,
    .......... Page(s) .......... 71
  - Sols, engrais,
    .......... Page(s) .......... 79
  - Méthodes culturales,
    .......... Page(s) .......... 81
  - Récolte, préparation du produit pour expédition et vente,
    .......... Page(s) .......... 84
  - Utilisation de la graine de cotonnier,
    .......... Page(s) .......... 85
- INFORMATIONS RELATIVES AUX CENTRES COTONNIERS
  .......... Page(s) .......... 89
  - Egypte
    .......... Page(s) .......... 89
  - Maroc
    .......... Page(s) .......... 91
  - Soudan français
    .......... Page(s) .......... 92
  - Afrique-Equatoriale Française
    .......... Page(s) .......... 92
  - Congo belge
    .......... Page(s) .......... 94
  - Colonies portugaises
    .......... Page(s) .......... 94
  - Tanganyika
    .......... Page(s) .......... 95
  - Grèce
    .......... Page(s) .......... 96
  - U.R.S.S
    .......... Page(s) .......... 96
  - Etats-Unis
    .......... Page(s) .......... 97
  - Montserrat
    .......... Page(s) .......... 98
  - Argentine
    .......... Page(s) .......... 98
  - Nouvelle-Calédonie
    .......... Page(s) .......... 99
  - Indes
    .......... Page(s) .......... 100

62 COTON ET CULTURE COTONNIÈRE

s'accomplit. De ce jour, il fut possible d'étendre la culture aux régions
Nord de la Chine, où, en raison des conditions écologiques, la culture
du cotonnier, comme plante pérenne, n'était pas possible.

Les premières régions cotonnières de la Chine furent les provinces
du Yunnan au sud-ouest, du Kwantung et Fukien au sud-est, et de
Shensi et Shansi au nord. Les recherches des savants aux périodes de
SUNG et de YUAN, qui soutenaient la possibilité de cette culture, furent
confirmées par la pratique. Tout ceci avec le profit à retirer de l'im-
portance de la récolte conduisit le Gouvernement chinois, qui en avait
d'abord laissé l'initiative à la population, à prendre en main l'intro-
duction de la culture cotonnière sur une grande échelle. Ceci se passait
en 1368, au début du règne de la dynastie de MING, amenée au
pouvoir par la grande vague insurrectionnelle qui avait anéanti l'Em-
pire de YUAN.

A partir de ce moment, le cotonnier a été introduit par des édits
impériaux obligatoires pour les fermiers dans la rotation des récoltes.

Certains de ces édits persuadaient le peuple de prêter son attention à
la culture cotonnière, mentionnant les divers avantages de la récolte et
indiquant les méthodes de culture ; d'autres édits, à la même époque,
prélevaient une part de la récolte de chaque fermier sous forme d'im-
pôts, pour la Cour de Bagdokhan.

La propagande ainsi dirigée et les mesures prises par le Gouver-
nement durant les premières années de la dynastie des MING abou-
tirent à l'extension de la culture du Sud et du Nord aux régions cen-
trales, et, au début du XVE siècle, la Chine avait pris rang parmi les
puissances cotonnières du monde.

BIOLOGIE DES COTONNIERS.

E. PHILLIS. Progress in physiology. (Progrès en physiologie.)
The Empire Cotton Groiving Revient, vol. XIV, n° 2, avril 1937,
pp. 117-125.

La Station de recherches cotonnières de Trinidad s'est spécialement
attachée à l'étude du cotonnier Sea Island, et ce sont les résultats ob-

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