Coton et culture cotonnière / périodique ... publié par l'Agence générale des colonies

Presse et revues

56 pages

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- Stade initial du développement de la fibre de coton,par F. -M. -L. SHEFFIELD
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- Le cotonnier Pima 67 au Maroc. Résultats agricoles et technologiques, par F. -H. HEIM DE BALSAC et MIÈGE
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- EXTRAITS ET ANALYSES
  .......... Page(s) .......... 39
  - Biologie des cotonniers,
    .......... Page(s) .......... 39
  - Génétique, sélection,
    .......... Page(s) .......... 40
  - Etude des fibres,
    .......... Page(s) .......... 42
  - Maladies cryptogamiques.
    .......... Page(s) .......... 42
  - Insectes nuisibles,
    .......... Page(s) .......... 46
  - Méthodes culturales,
    .......... Page(s) .......... 50
  - Récolte, préparation du produit pour expédition et vente,
    .......... Page(s) .......... 52

13JOLOGIE DES COTONNIERS.

MOHAMMAD AFZAL. — A note on the hairiness of cotton. (Note
sur la pilosité du cotonnier.) The Indian Journal of Agricultural
Science, vol. VI, part. III, juin 1936.

Cette question est d'une importance considérable au point de vue
de l'isolement de variétés et de races spéciales de cotonniers et de leur
résistance aux maladies et aux ravages causés par les insectes. On estime
que les cotonniers à pilosité marquée résistent à la maladie « Red Leaf
Blight » dans l'Inde du Sud. Dans le Punjab, on sait depuis longtemps
qu'il faut choisir ces cotonniers pour la culture en des lieux où la Jasside
cause des dommages sérieux. Les variétés indigènes du Punjab sont très
velues; il n'en est pas de même des races américaines acclimatées au
Punjab, il n'est donc pas très prudent de les y introduire.

L'auteur rappelle les travaux qui ont été effectués sur ce point par
BALLS, KEARNEY, KULKARNI et KHADILKAR. HARLAND a étudié
l'hérédité de ce caractère chez le cotonnier. Il résulte de cette revue que,
dans les études génétiques, la méthode employée pour enregistrer le
degré de cet état de pilosité n'a pas été mentionnée. C'est cette lacune
que la note de M. AFZAL veut combler, ce qui facilitera beaucoup
l'analyse des populations hybrides dans les études génétiques.

L'auteur expose ensuite sa méthode et donne, en deux tableaux,
les résultats de ses recherches.

Il résume ainsi son étude : la région de l'hypocotyle de toutes
les races américaines cultivées au Punjab est glabre. Les cotylédons de
toutes les variétés sont dépourvus de poils. On a prouvé que le degré de
pilosité augmente depuis la base de la plante jusqu'au sommet, dans
toutes les variétés.

On note qu'au point de vue des recherches génétiques, il est néces-
saire de fixer la place de la feuille et son âge pour le compte des poils
dans une population hybride.

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