46 COTON ET CULTURE COTONNIÈRE
L'auteur conclut : 1 ° que le cotonnier doit être éliminé de toute
région où l'intervalle entre les dernières et les premières gelées est trop
court; 2° que le cotonnier étant cultivé pour en tirer une fibre textile,
on cherche surtout à améliorer la soie, et que la pluie, après la florai-
son, lui serait nuisible; 3° que la complexité des exigences du coton, qui
trouvent satisfaction aux Etats-Unis du Sud-Est, explique la supé-
riorité des Etats-Unis en matière de production cotonnière et la diffi-
culté de la concurrence de la part d'autres régions.
Pour concurrencer la supériorité naturelle de ces régions, l'homme
a planté le cotonnier dans des déserts sans pluie qu'il a irrigués (Egypte,
Pérou) et il a obtenu ainsi les meilleurs cotons, la condition la plus
importante du climat cotonnier étant la régulation exacte des apports
d'humidité.
RÉCOLTE, PRÉPARATION DU PRODUIT POUR EXPÉDITION
ET VENTE.
R.- J. PEAKE. — Cotton : from the raw material to the finished
product. (Le cotonnier : de la matière première au produit final.)
4e édition, revue et augmentée par H.-P. CuRTIS, publiée à Londres
par Sir Isaac Pitman and Sons. T ext. Rec., III, 620, 1934, p. 58.
Le premier chapitre retrace l'historique de la fondation du commerce
du coton en Angleterre et de son développement. Les trois chapitres
suivants, qui constituent la partie la plus importante du volume, ont
trait à la culture du cotonnier, aux procédés de filature, au dévidage,
à l'assemblage et au tissage. On examine les nouvelles inventions. Les
deux chapitres suivants sont consacrés à l'étude du blanchiment, de
l'impression, de la teinture et de la distribution sur le marché du fil et de
la toile, tandis que les deux derniers chapitres donnent quelques rensei-
gnements intéressants sur les trade-unions et leur organisation respective.
:{.:{.:{.. - New cotton picker. (Nouvelle cueilleuse du coton.) Int.
Coti. Bull., XIII, 49, 1934, p. 97.
J. et M. RUST, de Memphis, ont inventé une machine qui est
constituée par une tige d'acier lisse douée d'un mouvement rotatif
rapide et qui est humide quand elle entre dans la capsule ouverte. La
tige humide ne porte ni crochets ni pinces; elle extrait le coton hors de
la capsule en l'enroulant.
L'auteur conclut : 1 ° que le cotonnier doit être éliminé de toute
région où l'intervalle entre les dernières et les premières gelées est trop
court; 2° que le cotonnier étant cultivé pour en tirer une fibre textile,
on cherche surtout à améliorer la soie, et que la pluie, après la florai-
son, lui serait nuisible; 3° que la complexité des exigences du coton, qui
trouvent satisfaction aux Etats-Unis du Sud-Est, explique la supé-
riorité des Etats-Unis en matière de production cotonnière et la diffi-
culté de la concurrence de la part d'autres régions.
Pour concurrencer la supériorité naturelle de ces régions, l'homme
a planté le cotonnier dans des déserts sans pluie qu'il a irrigués (Egypte,
Pérou) et il a obtenu ainsi les meilleurs cotons, la condition la plus
importante du climat cotonnier étant la régulation exacte des apports
d'humidité.
RÉCOLTE, PRÉPARATION DU PRODUIT POUR EXPÉDITION
ET VENTE.
R.- J. PEAKE. — Cotton : from the raw material to the finished
product. (Le cotonnier : de la matière première au produit final.)
4e édition, revue et augmentée par H.-P. CuRTIS, publiée à Londres
par Sir Isaac Pitman and Sons. T ext. Rec., III, 620, 1934, p. 58.
Le premier chapitre retrace l'historique de la fondation du commerce
du coton en Angleterre et de son développement. Les trois chapitres
suivants, qui constituent la partie la plus importante du volume, ont
trait à la culture du cotonnier, aux procédés de filature, au dévidage,
à l'assemblage et au tissage. On examine les nouvelles inventions. Les
deux chapitres suivants sont consacrés à l'étude du blanchiment, de
l'impression, de la teinture et de la distribution sur le marché du fil et de
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