28 COTON ET CULTURE COTONNIÈRE
entre Thespesia et Gossypium, il n'est pas évident qu'aucun transfert
de matières nutritives ne se produise du porte-greffe au greffon.
En considérant le type d'union entre porte-greffe et greffon, il
semble que tous les stades soient réalisables entre une association libre
de cellules qui permettent le passage de l'eau du porte-greffe au greffon,
mais non le passage des matières nutritives nécessaires à la croissance,
et une union biochimique réelle permettant une croissance normale et
une migration des matières nutritives.
Dans l'esprit de l'auteur de l'article, l'expression « greffe réussie »
s'applique au dernier type d'union ; si on accepte cette délimitation,
la question de savoir dans quelle mesure le succès a été obtenu en
greffant Gossypium avec Thespesia ou Paritium reste en suspens.
ETUDE DES FIBRES.
R.-L.-N. IYENGAR. — Estimation of the number of fibres on a
cotton seed by différent methods : a comparison. (Estimation du
nombre de fibres sur une graine de cotonnier par différentes méthodes:
comparaison.) Ind. J. of Agr. Sei., IV, 5, 1934, p. 906.
Le nombre moyen de fibres qui est produit sur la surface d'une
graine de cotonnier peut être évalué au moyen de l'une des méthodes
suivantes : a) par la méthode de TuRNER, dans laquelle on tient
compte des variations de longueur et de poids des fibres de l'échan-
tillon ; b) en divisant le poids de lint par graine par le produit de la
longueur moyenne de la fibre et son poids moyen par unité de longueur,
obtenu par la méthode ordinaire ; c) en divisant le poids de lint par
graine par le poids de fibre unitaire obtenu en pesant toutes les fi bres,
comme NAZIR AHMAD le décrit; d) en divisant le poids de lint par
graine par la moyenne du poids de fibre unitaire obtenu dans la mé-
thode de TURNER. Il est évident que cette méthode n'est pas indépen-
dante. puisqu'elle dépend de la méthode décrite en a).
L'auteur présente les conclusions suivantes : 1 La moyenne du
nombre de fibres par graine d'après la méthode b) est un peu infé-
rieure à celle obtenue par la méthode suggérée par TURNER a). Quand
on n'a pas besoin d'une précision absolue, la méthode ordinaire par
entre Thespesia et Gossypium, il n'est pas évident qu'aucun transfert
de matières nutritives ne se produise du porte-greffe au greffon.
En considérant le type d'union entre porte-greffe et greffon, il
semble que tous les stades soient réalisables entre une association libre
de cellules qui permettent le passage de l'eau du porte-greffe au greffon,
mais non le passage des matières nutritives nécessaires à la croissance,
et une union biochimique réelle permettant une croissance normale et
une migration des matières nutritives.
Dans l'esprit de l'auteur de l'article, l'expression « greffe réussie »
s'applique au dernier type d'union ; si on accepte cette délimitation,
la question de savoir dans quelle mesure le succès a été obtenu en
greffant Gossypium avec Thespesia ou Paritium reste en suspens.
ETUDE DES FIBRES.
R.-L.-N. IYENGAR. — Estimation of the number of fibres on a
cotton seed by différent methods : a comparison. (Estimation du
nombre de fibres sur une graine de cotonnier par différentes méthodes:
comparaison.) Ind. J. of Agr. Sei., IV, 5, 1934, p. 906.
Le nombre moyen de fibres qui est produit sur la surface d'une
graine de cotonnier peut être évalué au moyen de l'une des méthodes
suivantes : a) par la méthode de TuRNER, dans laquelle on tient
compte des variations de longueur et de poids des fibres de l'échan-
tillon ; b) en divisant le poids de lint par graine par le produit de la
longueur moyenne de la fibre et son poids moyen par unité de longueur,
obtenu par la méthode ordinaire ; c) en divisant le poids de lint par
graine par le poids de fibre unitaire obtenu en pesant toutes les fi bres,
comme NAZIR AHMAD le décrit; d) en divisant le poids de lint par
graine par la moyenne du poids de fibre unitaire obtenu dans la mé-
thode de TURNER. Il est évident que cette méthode n'est pas indépen-
dante. puisqu'elle dépend de la méthode décrite en a).
L'auteur présente les conclusions suivantes : 1 La moyenne du
nombre de fibres par graine d'après la méthode b) est un peu infé-
rieure à celle obtenue par la méthode suggérée par TURNER a). Quand
on n'a pas besoin d'une précision absolue, la méthode ordinaire par
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.96%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.96%.
- Auteurs similaires France France /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "France" or dc.contributor adj "France")
-
-
Page
chiffre de pagination vue 36/66
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://numba.cirad.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k63838670/f36.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://numba.cirad.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k63838670/f36.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://numba.cirad.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k63838670/f36.image
- Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://numba.cirad.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k63838670
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://numba.cirad.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k63838670