Titre : L'Agronomie coloniale : bulletin mensuel du Jardin colonial
Auteur : Jardin d'agronomie tropicale (Paris). Auteur du texte
Auteur : Institut national d'agronomie de la France d'outre-mer (Nogent-sur-Marne, Val-de-Marne). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des colonies. Auteur du texte
Éditeur : É. Larose (Paris)
Éditeur : Impr. nationaleImpr. nationale (Paris)
Date d'édition : 1929-10-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34351154x
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 10290 Nombre total de vues : 10290
Description : 01 octobre 1929 01 octobre 1929
Description : 1929/10/01 (A18,N142)-1929/10/31. 1929/10/01 (A18,N142)-1929/10/31.
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k63834169
Source : CIRAD, 2012-231851
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 12/08/2013
LE CACAOYER EN CÔTE D'IVOIRE
PAR
L. RENODIER,
Ingénieur d'agronomie coloniale.
La Côte d'Ivoire, représentant incontestablement la plus belle
colonie du groupe de l'A. 0. F. par la diversité de ses possibilités
agricoles, mérite un engouement égal à celui dont jouissent
ses sœurs d'Extrême-Orient : la Cochinchine et le Cambodge,
dont elle se rapproche, étonnamment, par le climat et la luxu-
riance de sa végétation.
Nous voudrions, en ces quelques lignes, montrer ce qui a été
fait quant à la production de cacao et le chemin qu'il reste
encore à parcourir pour alimenter nos chocolatiers d'un produit
d'une réelle valeur.
Car ce qui frappe, à la lecture des cotations du Havre concer-
nant ce produit, c'est le peu de faveur dont jouit le cacao de la
Côte d'Ivoire; avis confirmé par les industriels que nous avons
pu toucher. Cette moindre valeur tient à deux causes : io le
goût de terroir, inférieur à celui des autres provenances, et sur
lequel il est difficile d'agir efficacement, d'autant qu'on ne connaît
pas exactement les raisons provoquant ces divergences de goût;
toutefois, ce reproche n'est pas capital, mais réside plutôt dans
2° la présentation, trop souvent défectueuse, mais sur laquelle
les moyens d'action restent entiers et à appliquer, sans retard,
pour donner une valeur soutenue à ce cacao.
Pour bien comprendre les raisons de cette mauvaise présen-
tation, il est nécessaire de visiter les plantations de la Côte
d'Ivoire et de les comparer avec les plantations d'Extrême-
Orient. Ayant fait ce voyage d'études, nous nous permettrons
d'en faire connaitre le résultat.
PAR
L. RENODIER,
Ingénieur d'agronomie coloniale.
La Côte d'Ivoire, représentant incontestablement la plus belle
colonie du groupe de l'A. 0. F. par la diversité de ses possibilités
agricoles, mérite un engouement égal à celui dont jouissent
ses sœurs d'Extrême-Orient : la Cochinchine et le Cambodge,
dont elle se rapproche, étonnamment, par le climat et la luxu-
riance de sa végétation.
Nous voudrions, en ces quelques lignes, montrer ce qui a été
fait quant à la production de cacao et le chemin qu'il reste
encore à parcourir pour alimenter nos chocolatiers d'un produit
d'une réelle valeur.
Car ce qui frappe, à la lecture des cotations du Havre concer-
nant ce produit, c'est le peu de faveur dont jouit le cacao de la
Côte d'Ivoire; avis confirmé par les industriels que nous avons
pu toucher. Cette moindre valeur tient à deux causes : io le
goût de terroir, inférieur à celui des autres provenances, et sur
lequel il est difficile d'agir efficacement, d'autant qu'on ne connaît
pas exactement les raisons provoquant ces divergences de goût;
toutefois, ce reproche n'est pas capital, mais réside plutôt dans
2° la présentation, trop souvent défectueuse, mais sur laquelle
les moyens d'action restent entiers et à appliquer, sans retard,
pour donner une valeur soutenue à ce cacao.
Pour bien comprendre les raisons de cette mauvaise présen-
tation, il est nécessaire de visiter les plantations de la Côte
d'Ivoire et de les comparer avec les plantations d'Extrême-
Orient. Ayant fait ce voyage d'études, nous nous permettrons
d'en faire connaitre le résultat.
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.96%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.96%.
- Auteurs similaires Indochine française Indochine française /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "Indochine française" or dc.contributor adj "Indochine française")
-
-
Page
chiffre de pagination vue 16/32
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://numba.cirad.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k63834169/f16.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://numba.cirad.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k63834169/f16.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://numba.cirad.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k63834169/f16.image
- Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://numba.cirad.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k63834169
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://numba.cirad.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k63834169
Facebook
Twitter