Titre : L'Agronomie coloniale : bulletin mensuel du Jardin colonial
Auteur : Jardin d'agronomie tropicale (Paris). Auteur du texte
Auteur : Institut national d'agronomie de la France d'outre-mer (Nogent-sur-Marne, Val-de-Marne). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des colonies. Auteur du texte
Éditeur : É. Larose (Paris)
Éditeur : Impr. nationaleImpr. nationale (Paris)
Date d'édition : 1929-07-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34351154x
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 10290 Nombre total de vues : 10290
Description : 01 juillet 1929 01 juillet 1929
Description : 1929/07/01 (A18,N139)-1929/07/31. 1929/07/01 (A18,N139)-1929/07/31.
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k63834132
Source : CIRAD, 2012-231851
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 12/08/2013
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- SOMMAIRE
- Pages.
- ÉTUDES ET MÉMOIRES:
- .......... Page(s) .......... 193
- .......... Page(s) .......... 200
- .......... Page(s) .......... 206
- .......... Page(s) .......... 214
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- .......... Page(s) .......... 217
- .......... Page(s) .......... 217
- .......... Page(s) .......... 218
- REVUE COMMERCIALE
220
BIBLIOGRAPHIE.
N° 162. G. Moussu et R. Moussu. Traité des maladies du gros bétail.
5' édition. (In-8° écu de 1.076 pages avec 399 figures dans le texte
et 90 planches en couleur. Vigot frères, éditeurs, Paris. Prix :
175 francs.)
M. le professeur G. Moussu, d'Alfort, de l'Institut agronomique et de l'Institut
d'agronomie coloniale, est trop connu pour qu'il soit nécessaire de le présenter
aux lecteurs de ce périodique.
Son neveu, M. R. Moussu, chef des travaux de la chaire de pathologie chirurgicale,
à Alfort, qui a été son collaborateur, et le seconde dans ce que sa charge a quelque-
fois de trop lourd, est l'assistant du maître : cela suffit et dispense, dans la circon-
stance, des phrases habituelles, plus ou moins laudatives.
Le Traité des maladies du gros bétail en est à sa cinquième édition; c'est assez dire
combien il a été apprécié et recherché par tous ceux qui ont à s'occuper de médecine
vétérinaire.
Il ne peut être question, bien entendu, de dire ici, en quelques lignes, ce qu'est
le remarquable ouvrage de MM. G. et R. Moussu, c'est-à-dire un véritable monu-
ment, contenant, comme le disent modestement les auteurs, «l'exposé de nos
connaissances sur les maladies du gros bétail, à une époque déterminée. Nous
nous sommes efforcés, disent-ils, de mettre ce livre au courant de toutes les acqui-
sitions nouvelles, susceptibles d'applications pratiques. Nous avons le ferme espoir,
ajoutent-ils, que, comme les précédentes éditions, elle continuera à rendre des
services à tous les praticiens de nos campagnes qui ont le désir de rester au courant
de la science moderne. Pour eux, elle doit constituer l'instrument de travail
de tous les jours, v
Nous ajouterons que cet ouvrage rendra les mêmes bons services à tous les
vétérinaires coloniaux, dont le vaste champ d'action renferme toutes les possibi-
lités d'avenir : l'élevage du bétail, en assurant une meilleure nourriture aux habi-
tants des régions chaudes, devant jouer un rôle important dans l'accroissement
des populations et, par cela même, contribuer à une véritable mise en valeur des
territoires coloniaux.
-, C. C.
N° 163. Max RINGELMANN. Asséchement des terres par les saignées
souterraines. (Ouvrage de 90 pages, contenant 31 figures.
Librairie agricole de la Maison rustique, 26, rue Jacob, Paris [6*]).
Comme en France, l'agriculteur colonial a souvent, dans ses plantations, des
terrains d'où les eaux pluviales, plus importantes que dans notre pays, ne peuvent
s'écouler facilement. Dans un certain nombre de cas, les terrains de ce genre, dans
les pays chauds, ne sont pas mis en culture, car leur valeur étant très faible on
considère qu'il est préférable de s'adresser à des terrains plus sains. A proximité
des villes ou des centres, le terrain a une valeur supérieure et il pourrait y avoir
intérêt, au point de vue de l'hygiène principalement, à en assécher des parties trop
humides.
Dans ce cas, on pourra s'inspirer de tout ce que dit M. Max Ringelmann, et, avec
des dépenses relativement modiques, il sera facile d'assainir des terrains qui pour-
ront alors être cultivés utilement et ne constitueront plus un danger pour la santé
publique.
C. C.
BIBLIOGRAPHIE.
N° 162. G. Moussu et R. Moussu. Traité des maladies du gros bétail.
5' édition. (In-8° écu de 1.076 pages avec 399 figures dans le texte
et 90 planches en couleur. Vigot frères, éditeurs, Paris. Prix :
175 francs.)
M. le professeur G. Moussu, d'Alfort, de l'Institut agronomique et de l'Institut
d'agronomie coloniale, est trop connu pour qu'il soit nécessaire de le présenter
aux lecteurs de ce périodique.
Son neveu, M. R. Moussu, chef des travaux de la chaire de pathologie chirurgicale,
à Alfort, qui a été son collaborateur, et le seconde dans ce que sa charge a quelque-
fois de trop lourd, est l'assistant du maître : cela suffit et dispense, dans la circon-
stance, des phrases habituelles, plus ou moins laudatives.
Le Traité des maladies du gros bétail en est à sa cinquième édition; c'est assez dire
combien il a été apprécié et recherché par tous ceux qui ont à s'occuper de médecine
vétérinaire.
Il ne peut être question, bien entendu, de dire ici, en quelques lignes, ce qu'est
le remarquable ouvrage de MM. G. et R. Moussu, c'est-à-dire un véritable monu-
ment, contenant, comme le disent modestement les auteurs, «l'exposé de nos
connaissances sur les maladies du gros bétail, à une époque déterminée. Nous
nous sommes efforcés, disent-ils, de mettre ce livre au courant de toutes les acqui-
sitions nouvelles, susceptibles d'applications pratiques. Nous avons le ferme espoir,
ajoutent-ils, que, comme les précédentes éditions, elle continuera à rendre des
services à tous les praticiens de nos campagnes qui ont le désir de rester au courant
de la science moderne. Pour eux, elle doit constituer l'instrument de travail
de tous les jours, v
Nous ajouterons que cet ouvrage rendra les mêmes bons services à tous les
vétérinaires coloniaux, dont le vaste champ d'action renferme toutes les possibi-
lités d'avenir : l'élevage du bétail, en assurant une meilleure nourriture aux habi-
tants des régions chaudes, devant jouer un rôle important dans l'accroissement
des populations et, par cela même, contribuer à une véritable mise en valeur des
territoires coloniaux.
-, C. C.
N° 163. Max RINGELMANN. Asséchement des terres par les saignées
souterraines. (Ouvrage de 90 pages, contenant 31 figures.
Librairie agricole de la Maison rustique, 26, rue Jacob, Paris [6*]).
Comme en France, l'agriculteur colonial a souvent, dans ses plantations, des
terrains d'où les eaux pluviales, plus importantes que dans notre pays, ne peuvent
s'écouler facilement. Dans un certain nombre de cas, les terrains de ce genre, dans
les pays chauds, ne sont pas mis en culture, car leur valeur étant très faible on
considère qu'il est préférable de s'adresser à des terrains plus sains. A proximité
des villes ou des centres, le terrain a une valeur supérieure et il pourrait y avoir
intérêt, au point de vue de l'hygiène principalement, à en assécher des parties trop
humides.
Dans ce cas, on pourra s'inspirer de tout ce que dit M. Max Ringelmann, et, avec
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ront alors être cultivés utilement et ne constitueront plus un danger pour la santé
publique.
C. C.
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