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- SOMMAIRE
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- CONTENTS
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- TABLE DES MATIÈRES
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- II
- BIOLOGIE DES RIZ.
- HYBRIDATION.
- VARIÉTÉS DE RIZ.
- GÉNÉTIQUE.
- ADAIR, C.-R. - Cf. JONES, J.-W.
- BEACHELL, H.-W. - Cf. JONES, J.-W.
- DAVIS, L.-L. - Cf. JONES, J.-W.
- .......... Page(s) .......... 44
- .......... Page(s) .......... 86
- ISSHIKI, S. - Cf. KONDO, M.
- .......... Page(s) .......... 44
- .......... Page(s) .......... 85
- PARTHASARATHI, N. - Cf. RAMIAH, K. et RAMANUJAM, S.
- RAMANUJAM, S. - Cf. RAMIAH, K.
- .......... Page(s) .......... 140
- .......... Page(s) .......... 141
- .......... Page(s) .......... 141
- .......... Page(s) .......... 142
- .......... Page(s) .......... 84
- CHIMIE DU RIZ ET DE SES DÉRIVÉS.
- AGROLOGIE DES RIZIÈRES.
- ANIL KUMAR PAIN. - Cf. PRAN KUMAR DE.
- MATSUURA, A. - Cf. ITANO, A.
- INFLUENCES MÉTÉOROLOGIQUES.
- .......... Page(s) .......... 87
- SÉLECTION, PRÉPARATION ET CONSERVATION DES SEMENCES.
- GÉNÉRALITÉS SUR LA CULTURE DU RIZ DANS DIVERSES RÉGIONS.
- REPIQUAGE DU RIZ.
- INSTRUMENTS DE CULTURE ET CULTURE MÉCANIQUE.
- .......... Page(s) .......... 49
- IRRIGATION.
- ENCRAIS VERTS.
- ENCRAIS MINÉRAUX, ENCRAIS COMPOSÉS, FUMIER.
- ASSOLEMENTS.
- .......... Page(s) .......... 53
- MALADIES PARASITAIRES ET AUTRES.
- INSECTES ET ANIMAUX NUISIBLES.
- ELEVAGE ET PISCICULTURE DANS LES RIZIÈRES.
- .......... Page(s) .......... 106
- LE RIZ ET SES SOUS-PRODUITS DANS L'ALIMENTATION.
- .......... Page(s) .......... 107
- CONSERVATION ET MANUTENTION DES RIZ.
- BIBLIOGRAPHIE.
- VARIA
- .......... Page(s) .......... 112
LA CULTURE DU RIZ SEC AU CONGO BELGE,
liers de serviteurs et de soldats indigènes : au moment de la
guerre contre ces esclavagistes, les troupes arabisées compor-
taient environ 30.000 hommes, armés pour la plupart de
fusils à pierre.
D'après le voyageur anglais BURTON (1), le riz fut intro-
duit à Udjidji par les Arabes dès leur arrivée au lac Tanga-
nyika, vers 1840 : à l'arrivée de BURTON, en 1860, les va-
riétés cultivées atteignaient une grande taille et étaient de
qualité excellente.
Les trafiquants Arabes s'étant avancés au sud du lac,
en 1846, trouvèrent du riz dans le pays de Luenda, près
du lac Moéro. AIMAR BEN SAID rapporte qu'en 1842 les
émissaires envoyés à la résidence du Kazembé avaient acheté
à ce chef de grandes quantités de riz, d'ivoire et de cuivre.
Nous ne savons si la semence de cette céréale provenait des
Arabes ou des négociants portugais.
En 1867, LIVINGSTONE parcourut les environs du Moéro
et du Tanganyika et séjourna chez le Kazembé, dans la ville
de Lusenda. Celle-ci était une ferme plutôt qu'une ville, cou-
vrait un mille carré et comprenait beaucoup de cultures de
manioc, ainsi que du coton à soie forte et longue, dont les
indigènes faisaient de grands châles rayés de noir et de blanc.
Près de Pwéto, de grandes étendues étaient plantées d'ara-
chides pour la fabrication de l'huile, de sorgho, de pois et
de grands cotonniers de 2 mètres de hauteur; partout on
cultivait et filait le coton. Le riz n'est pas cité, ce qui fait
croire que sa culture faite par le Kazembé en 1842 ne s'était
pas étendue.
Au Maniéma, dont le sol est très fertile, les récoltes sont
abondantes : LIVINGSTONE relève des cultures diverses, parmi
lesquelles le riz (1870), et dit que celui-ci, semé le 19 oc-
tobre 1871, était en épi soixante-dix jours après. Dans la
région voisine, le Haut-Lomami, les Bakouss boivent beau-
coup de café après leurs repas. L'agriculture de ces régions
de l'Afrique accusait donc plusieurs cultures nouvelles.
---
(1) BURTON : Voyage aux grands lacs de l'Afrique Orientale, Paris, Hachette
1862.
liers de serviteurs et de soldats indigènes : au moment de la
guerre contre ces esclavagistes, les troupes arabisées compor-
taient environ 30.000 hommes, armés pour la plupart de
fusils à pierre.
D'après le voyageur anglais BURTON (1), le riz fut intro-
duit à Udjidji par les Arabes dès leur arrivée au lac Tanga-
nyika, vers 1840 : à l'arrivée de BURTON, en 1860, les va-
riétés cultivées atteignaient une grande taille et étaient de
qualité excellente.
Les trafiquants Arabes s'étant avancés au sud du lac,
en 1846, trouvèrent du riz dans le pays de Luenda, près
du lac Moéro. AIMAR BEN SAID rapporte qu'en 1842 les
émissaires envoyés à la résidence du Kazembé avaient acheté
à ce chef de grandes quantités de riz, d'ivoire et de cuivre.
Nous ne savons si la semence de cette céréale provenait des
Arabes ou des négociants portugais.
En 1867, LIVINGSTONE parcourut les environs du Moéro
et du Tanganyika et séjourna chez le Kazembé, dans la ville
de Lusenda. Celle-ci était une ferme plutôt qu'une ville, cou-
vrait un mille carré et comprenait beaucoup de cultures de
manioc, ainsi que du coton à soie forte et longue, dont les
indigènes faisaient de grands châles rayés de noir et de blanc.
Près de Pwéto, de grandes étendues étaient plantées d'ara-
chides pour la fabrication de l'huile, de sorgho, de pois et
de grands cotonniers de 2 mètres de hauteur; partout on
cultivait et filait le coton. Le riz n'est pas cité, ce qui fait
croire que sa culture faite par le Kazembé en 1842 ne s'était
pas étendue.
Au Maniéma, dont le sol est très fertile, les récoltes sont
abondantes : LIVINGSTONE relève des cultures diverses, parmi
lesquelles le riz (1870), et dit que celui-ci, semé le 19 oc-
tobre 1871, était en épi soixante-dix jours après. Dans la
région voisine, le Haut-Lomami, les Bakouss boivent beau-
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(1) BURTON : Voyage aux grands lacs de l'Afrique Orientale, Paris, Hachette
1862.
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