Titre : L'Agronomie coloniale : bulletin mensuel du Jardin colonial
Auteur : Jardin d'agronomie tropicale (Paris). Auteur du texte
Auteur : Institut national d'agronomie de la France d'outre-mer (Nogent-sur-Marne, Val-de-Marne). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des colonies. Auteur du texte
Éditeur : É. Larose (Paris)
Éditeur : Impr. nationaleImpr. nationale (Paris)
Date d'édition : 1936-04-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34351154x
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 10290 Nombre total de vues : 10290
Description : 01 avril 1936 01 avril 1936
Description : 1936/04/01 (A25,N220)-1936/04/30. 1936/04/01 (A25,N220)-1936/04/30.
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6381289w
Source : CIRAD, 2012-231851
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 12/08/2013
103
NOTES ET OBSERVATIONS
SUR LA CULTURE DU CAFÉIER "ARABICA" AU CAMEROUN,
PAR
RENÉ COSTE,
Ingénieur d'agronomie coloniale,
Ingénieur-adjoint des Services de l'agriculture au Cameroun.
(Suite et fin.) (1)
HISTORIQUE.
Avant l'intervention française, il n'existait au Cameroun que
quelques petites plantations dans la région côtière et entièrement
constituées par des pieds de coffea liberica. Les Allemands étaient
encore dans la période des essais pour cette variété. Dans plu-
sieurs postes de la zone des forêts on trouve encore quelques
ares de vieux caféiers de Liberia. Il n'y avait pas d'exportations.
On peut affirmer que la culture du caféier au Cameroun date
seulement de la période d'après-guerre. C'est à ce moment que
les stations d'Ébolowa et de Dschang ont commencé les premiers
essais sérieux de culture; la première concernant surtout le coffea
robusta (l'Arabica n'ayant pas donné de bons résultats — alti-
tude 600 mètres), la seconde plus spécialement avec le coffea
arabica.
A l'époque des premiers essais culturaux, effectués par les
services agricoles, avec des caféiers de l'espèce Robusta, en 1926,
le Haut-Plateau Bamoun était complètement inculte, exception
faite pour les plantations vivrières indigènes.
L'origine de la culture de l'Arabica date effectivement de 1929,
avec l'introduction chez l'indigène de plusieurs milliers de jeunes
plants d'une variété cultivée à la Jamaïque, issus de graines
récoltées sur une plantation d'essai de la Station agricole de
(1) Voir L'Agronomie Coloniale, n° 219, mars 1936.
NOTES ET OBSERVATIONS
SUR LA CULTURE DU CAFÉIER "ARABICA" AU CAMEROUN,
PAR
RENÉ COSTE,
Ingénieur d'agronomie coloniale,
Ingénieur-adjoint des Services de l'agriculture au Cameroun.
(Suite et fin.) (1)
HISTORIQUE.
Avant l'intervention française, il n'existait au Cameroun que
quelques petites plantations dans la région côtière et entièrement
constituées par des pieds de coffea liberica. Les Allemands étaient
encore dans la période des essais pour cette variété. Dans plu-
sieurs postes de la zone des forêts on trouve encore quelques
ares de vieux caféiers de Liberia. Il n'y avait pas d'exportations.
On peut affirmer que la culture du caféier au Cameroun date
seulement de la période d'après-guerre. C'est à ce moment que
les stations d'Ébolowa et de Dschang ont commencé les premiers
essais sérieux de culture; la première concernant surtout le coffea
robusta (l'Arabica n'ayant pas donné de bons résultats — alti-
tude 600 mètres), la seconde plus spécialement avec le coffea
arabica.
A l'époque des premiers essais culturaux, effectués par les
services agricoles, avec des caféiers de l'espèce Robusta, en 1926,
le Haut-Plateau Bamoun était complètement inculte, exception
faite pour les plantations vivrières indigènes.
L'origine de la culture de l'Arabica date effectivement de 1929,
avec l'introduction chez l'indigène de plusieurs milliers de jeunes
plants d'une variété cultivée à la Jamaïque, issus de graines
récoltées sur une plantation d'essai de la Station agricole de
(1) Voir L'Agronomie Coloniale, n° 219, mars 1936.
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