Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 12/08/2013
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PRATIQUE DE LA FERMENTATION DES TABACS DE CAPE AU CAMEROUN, (1) PAR
R. THILLARD, l on i ale, Ingénieur d'Agronomie Coloniale, Ancien Inspecteur de l'Agriculture, Ex-Président des Chambres de Commerce et d'Agriculture du Cameroun, Ex-Directeur général de Sociétés Coloniales.
(Suite et fin.)
Supposons deux A ayant les conditions requises (Al et A2).
Pour plus de commodité, admettons que l'un et l'autre soit formé de la même sorte de tabac. Pour construire le tas B qui va les réunir ou s'inspire des méthodes employées pour la construction et le retourne- ment d'un A.
Les bancs froids et chauds s'additionnent respectivement, mélangés entre eux le plus possible, pour former B1 (fig. 20 et 21).
Fig. XXII.
o4J 1
Fig. XXIIl.
Très souvent, on est amené à réunir des tas A composés chacun de plusieurs catégories variables à elles-mêmes en quantité : Soit par exemple A1 renfermant pied II, sable et pied I, puis A2 composé de pied II et sable répartis comme le montre la figure 22.
(1) Voir L'Agronomie Coloniale n° 173, p. 153 ; n° 174, p. 203 et n° 175, p. 8.
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