Titre : Journal d'agriculture tropicale : agricole, scientifique et commercial / dir. Jean Vilbouchevitch
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1906-01-31
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb343782789
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 6892 Nombre total de vues : 6892
Description : 31 janvier 1906 31 janvier 1906
Description : 1906/01/31 (A6,N55). 1906/01/31 (A6,N55).
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k63783753
Source : CIRAD, 2012-235759
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/01/2013
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- ÉTUDES & DOSSIERS
- PARTIE COMMERCIALE
- ACTUALITÉS
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- BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE
32, JOURNAL D'AGRICULTURE TROPICALE N° 55 — JANV. 1906
Il part en laissant les meilleurs souvenirs :
le syndicat propriétaire de la station de Sa-
latiga, qui a son siège à Samarang, lui offre,
par souscription, un objet d'art à titre d'hom-
mage. Il sera remplacé, à Salatiga, en mars,
par M. A. ZIMMERMANN lequel abandonne en
conséquence l'Institut de Biologie agricole
d'Àmani , Est africain allemand, qu'il a
fondé.
Avant d'aller créer cette station agrono-
mique dans l'Usambara, M. ZIMMERMANN,
— qui a débuté comme zoologiste, tout
comme M. ZEHNTNER, et qui est, comme lui,
d'origine allemande, — avait déjà séjourné
une première fois à Java, pendant une série
d'années, en qualité de chef de la 9e section
de l'Institut de Buitenzorg. Il est l'autew clé
très belles recherches personnelles, dont
plusieurs ont été signalées dans notre sup-
plément bibliographique, et aussi de nom-
breux articles de vulgarisation concernant
les cultures les plus diverses. Il aura à réa-
liser l'extension des études de la station de
Salatiga à l'ensemble des cultures qui inté-
ressent la région, transformation décidée
depuis bientôt un an, sur les instances
mêmes de M. ZEHNTNER.
, Le Molascuit à Demerara.
Composition et prix de revient.
Nous extrayons ce qui suit d'un article paru
dans « l'Argosy » de Demerara du 14 janvier.
(cf. « Agricultural News », 11 février 1905) :
« Il est hors de doute que la fabrication du
molascuit fait des progrès très satisfaisants
dans la Guyane anglaise. Le prix moyen
obtenu en Angleterre pendant les six der-
niers mois, est £ 4 ]a tonne. Pour produire
une tonne de molascuit, il faut environ 130
gallons de mélasse, d'une clensité de 440 à
46° Baumé, aj outés à la farine de bagasse,
obtenue en criblant la bagasse à son pas-
sage du moulin au four. Le prix de revient
moyen de la fabrication y compris l'embal-
lage, le transport local, et les autres frais
accessoires, s'élève à $ 4.50 la tonne. Il con-
vient d'y aj outer le fret sur l'Angleterre, les
droits, la commission, etc., qui se montent
en moyenne à$7 ; cela laisse au fabricant
un profit net de $ 7.70, soit tout près de
6 cents par gallon de mélasse employée.
» Il y a actuellement dans cette colonie
45 propriétés qui font du sucre, mais quel-
ques-unes seulement, parmi les plus grandes,
sont outillées pour la fabrication du molas-
cuit. Une caractéristique de ce produit est
d'ailleurs qu'il peut être fabriqué entièrement
sans le secours de machines; mais tandis
que le prix moyen de la fabrication à la
main ressort à 10 shillings la tonne, il tombe
à 60 cents avec des machines spéciales.
» Tel qu'il est fait ici, le molascuit se
compose d'environ 75 0 de mélasse, contre
25 0 de farine de bagasse. Le produit ob-
tenu contient 50 à 55 o/o de sucre et environ
13 o d'eau ».
Nous avons déjà donné différents détails,
techniques et économiques, sur le -molascuit,
dans nos nos 33,47, 53 (pp. 90, 147, 341) et 54
(p.-372).
Prix du Déchargeur de canne à sucre
système Bodley-Mallon
Dans l'étude de ces appareils, que nous
avons publiée dans le no 47, nous avons dit,
en parlant du déchargeur BODLEY-MALLON,
que nous en ignorions le prix ; le chiffre
de $ 10.000, que nous avioils sous les yeux,
s'appliquait en effet à toute une installation
comprenant, outre le déchargeur, des trans-
missions, tra-iisporteurs, élévateurs, etc.
La maison qui fabrique le déchargeur en
question, nous apprend aujourd'hui que
le déchargeur proprement dit rentre pour
$ 1.500 dans cette somme. Le prix dépend
d'ailleurs de la dimension des wagons à
décharger, et aussi des dispositions de l'em-
placement qu'on peut lui consacrèr dans
l'usine. C'est le modèle le plus petit qui
coûte 1. 500 -7 F. M.
- ïnîjiriïrtëriè J.-B. AËHAKD, 10, rue de Flandre-, Dreux. Le Gérant: J.-B. AtHARD.
Il part en laissant les meilleurs souvenirs :
le syndicat propriétaire de la station de Sa-
latiga, qui a son siège à Samarang, lui offre,
par souscription, un objet d'art à titre d'hom-
mage. Il sera remplacé, à Salatiga, en mars,
par M. A. ZIMMERMANN lequel abandonne en
conséquence l'Institut de Biologie agricole
d'Àmani , Est africain allemand, qu'il a
fondé.
Avant d'aller créer cette station agrono-
mique dans l'Usambara, M. ZIMMERMANN,
— qui a débuté comme zoologiste, tout
comme M. ZEHNTNER, et qui est, comme lui,
d'origine allemande, — avait déjà séjourné
une première fois à Java, pendant une série
d'années, en qualité de chef de la 9e section
de l'Institut de Buitenzorg. Il est l'autew clé
très belles recherches personnelles, dont
plusieurs ont été signalées dans notre sup-
plément bibliographique, et aussi de nom-
breux articles de vulgarisation concernant
les cultures les plus diverses. Il aura à réa-
liser l'extension des études de la station de
Salatiga à l'ensemble des cultures qui inté-
ressent la région, transformation décidée
depuis bientôt un an, sur les instances
mêmes de M. ZEHNTNER.
, Le Molascuit à Demerara.
Composition et prix de revient.
Nous extrayons ce qui suit d'un article paru
dans « l'Argosy » de Demerara du 14 janvier.
(cf. « Agricultural News », 11 février 1905) :
« Il est hors de doute que la fabrication du
molascuit fait des progrès très satisfaisants
dans la Guyane anglaise. Le prix moyen
obtenu en Angleterre pendant les six der-
niers mois, est £ 4 ]a tonne. Pour produire
une tonne de molascuit, il faut environ 130
gallons de mélasse, d'une clensité de 440 à
46° Baumé, aj outés à la farine de bagasse,
obtenue en criblant la bagasse à son pas-
sage du moulin au four. Le prix de revient
moyen de la fabrication y compris l'embal-
lage, le transport local, et les autres frais
accessoires, s'élève à $ 4.50 la tonne. Il con-
vient d'y aj outer le fret sur l'Angleterre, les
droits, la commission, etc., qui se montent
en moyenne à$7 ; cela laisse au fabricant
un profit net de $ 7.70, soit tout près de
6 cents par gallon de mélasse employée.
» Il y a actuellement dans cette colonie
45 propriétés qui font du sucre, mais quel-
ques-unes seulement, parmi les plus grandes,
sont outillées pour la fabrication du molas-
cuit. Une caractéristique de ce produit est
d'ailleurs qu'il peut être fabriqué entièrement
sans le secours de machines; mais tandis
que le prix moyen de la fabrication à la
main ressort à 10 shillings la tonne, il tombe
à 60 cents avec des machines spéciales.
» Tel qu'il est fait ici, le molascuit se
compose d'environ 75 0 de mélasse, contre
25 0 de farine de bagasse. Le produit ob-
tenu contient 50 à 55 o/o de sucre et environ
13 o d'eau ».
Nous avons déjà donné différents détails,
techniques et économiques, sur le -molascuit,
dans nos nos 33,47, 53 (pp. 90, 147, 341) et 54
(p.-372).
Prix du Déchargeur de canne à sucre
système Bodley-Mallon
Dans l'étude de ces appareils, que nous
avons publiée dans le no 47, nous avons dit,
en parlant du déchargeur BODLEY-MALLON,
que nous en ignorions le prix ; le chiffre
de $ 10.000, que nous avioils sous les yeux,
s'appliquait en effet à toute une installation
comprenant, outre le déchargeur, des trans-
missions, tra-iisporteurs, élévateurs, etc.
La maison qui fabrique le déchargeur en
question, nous apprend aujourd'hui que
le déchargeur proprement dit rentre pour
$ 1.500 dans cette somme. Le prix dépend
d'ailleurs de la dimension des wagons à
décharger, et aussi des dispositions de l'em-
placement qu'on peut lui consacrèr dans
l'usine. C'est le modèle le plus petit qui
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