Titre : Revue des cultures coloniales
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1900-11-20
Contributeur : Milhe-Poutingon, Albert. Éditeur scientifique
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32858342r
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 5134 Nombre total de vues : 5134
Description : 20 novembre 1900 20 novembre 1900
Description : 1900/11/20 (A4,N65,T7). 1900/11/20 (A4,N65,T7).
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6378369c
Source : CIRAD, 2012-231823
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 12/08/2013
682 REVUE DES CULTURES COLONIALES
M. Hartog exprime son opinion sur les relations des Sapotacex et des ordres
qui leur sont alliés, d'après l'étude anatomique du développement de la fleur,
de la manière suivante :
Même ce tableau-ci, bien que plus détaillé au point de vue de la parenté, ne
renferme aucune plante à caoutchouc.
Fig.2
En 1846, M. Thomas Lobb, qui était
chargé d'une mission botanique dans l'ar-
chipel malais, envoya quelques branches
bien séchées d'un arbre à gutta-percha de
Singapore à Kew. Elles ne portaient mal-
heureusement pas de corolles et sir W.
Hooker fut dans l'impossibilité de dire
d'une manière positive si la plante apparte-
nait au genre Bassia,avec lequel elle pré-
senté tant d'affinités. Sir W. Hooker écrivit
alors au Dr Oxley pour obtenir quelques
branches fleuries. Il reçut peu de temps
après une branche chargée de fleurs et de
fruits, renfermée dans une boîte en zinc
dont les deux extrémités étaient fermées
au moyen de gutta-percha.
Les spécimens d'Oxley permirent enfin
à Sir William de décrire la plante exacte-
ment. Il en fit faire aussi un dessin qui
est reproduit dans la figure ci-contre.
Hooker rattacha la plante au nouveau genre
des Sapotacex du Dr Wight et lui donna le
nom de Isonandra giitta. Le calice et la
corolle de l'exemplaire envoyé par Oxley
se divisent chacun en six segments. Ce-
pendant, d'après la description de Wight du
genre lsonandra,on constate que les fleurs
sont divisées en quatre segments. Il y avait donc un désaccord. Hooker lui-même
M. Hartog exprime son opinion sur les relations des Sapotacex et des ordres
qui leur sont alliés, d'après l'étude anatomique du développement de la fleur,
de la manière suivante :
Même ce tableau-ci, bien que plus détaillé au point de vue de la parenté, ne
renferme aucune plante à caoutchouc.
Fig.2
En 1846, M. Thomas Lobb, qui était
chargé d'une mission botanique dans l'ar-
chipel malais, envoya quelques branches
bien séchées d'un arbre à gutta-percha de
Singapore à Kew. Elles ne portaient mal-
heureusement pas de corolles et sir W.
Hooker fut dans l'impossibilité de dire
d'une manière positive si la plante apparte-
nait au genre Bassia,avec lequel elle pré-
senté tant d'affinités. Sir W. Hooker écrivit
alors au Dr Oxley pour obtenir quelques
branches fleuries. Il reçut peu de temps
après une branche chargée de fleurs et de
fruits, renfermée dans une boîte en zinc
dont les deux extrémités étaient fermées
au moyen de gutta-percha.
Les spécimens d'Oxley permirent enfin
à Sir William de décrire la plante exacte-
ment. Il en fit faire aussi un dessin qui
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Hooker rattacha la plante au nouveau genre
des Sapotacex du Dr Wight et lui donna le
nom de Isonandra giitta. Le calice et la
corolle de l'exemplaire envoyé par Oxley
se divisent chacun en six segments. Ce-
pendant, d'après la description de Wight du
genre lsonandra,on constate que les fleurs
sont divisées en quatre segments. Il y avait donc un désaccord. Hooker lui-même
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