Titre : Revue des cultures coloniales
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1900-02-20
Contributeur : Milhe-Poutingon, Albert. Éditeur scientifique
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32858342r
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 5134 Nombre total de vues : 5134
Description : 20 février 1900 20 février 1900
Description : 1900/02/20 (A4,N47,T6). 1900/02/20 (A4,N47,T6).
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6378351p
Source : CIRAD, 2012-231823
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 12/08/2013
VARIÉTÉS 121
Ces quantités ne comprennent pas tous les poivres du Cambodge ; une petite
partie de ceux de Ja province de Tréang ont pris une autre voie et ont gagné
Chaudoc par le prêk Takéo.
L'exportation des poivres cochinchinois et cambodgiens s'étant élevée en 1898,
dit M. Brenier, sous-directeur du Commerce de l'Indo-Chine, à 2.320.734 kil.,
et la sortie des poivres cambodgiens étant de 1.691.109 kil., il reste, pour les
productions cochinchinoises, environ 729.000 kil.
V
Le budget du Protectorat a perçu sur les plantations de poivre des quatre pro-
vinces du Cambodge, depuis 1891, époque où le roi lui a cédé ce revenu, les
sommes suivantes :
TABLEAU VI
ANNÉES PRÉVISIONS RECETTES EFFECTUÉES
1891 6.000 $ Les budgets des années 1891 à 1891 ne donnent pas les recettes
1892 14.000 etlectuées à l'appui des prévisions.
1893 12.000
1894 18.000
1895 24.000
1896 30.000 25.881$75
1897 30.000 1 34883 00
1898 00 oon ) Seront publiés au budget de 1900. — Les trois provinces de
( Kampot, Péam et Bântéay-Méas ont produit 39.750 8 01.
1899 50.000 r. 64.093$50
Voici les mêmes chiffres par provinces et pour les trois dernières années :
TABLEAU VII
PROVINCES 1897 1898 1899 TOTAUX
S S s
Kampot. 9.130 13 13.858 20 18.806 20 41.19453
Péam. 16.40469 23.92337 30.849 95 71.178 01
Bântéay-Méas 1.250 00 1.968 44 2.643 95 5.862 39
39.750 01 118.834 93
Tréang 8.098 18 11.19340
34.883 00 » 64.093 50 »
LES ARBRES A CAOUTCHOUC A CEYLAN (1)
L'arbre à caoutchouc idéal devrait posséder des vaisseaux laticifères nombreux,
tous communiquant librement entre eux et contenant uniquement du caoutchouc
en suspension dans l'eau (émulsion). Aucun des arbres cultivés à Ceylan
n'approche de cet idéal, mais les différentes espèces s'en éloignent, les unes plus,
les autres moins.
(1) Conclusions tirées par M. Villis du Rapport « de M. Parkin sur ses recherches concernant
les plantes à caoutchouc.
Ces quantités ne comprennent pas tous les poivres du Cambodge ; une petite
partie de ceux de Ja province de Tréang ont pris une autre voie et ont gagné
Chaudoc par le prêk Takéo.
L'exportation des poivres cochinchinois et cambodgiens s'étant élevée en 1898,
dit M. Brenier, sous-directeur du Commerce de l'Indo-Chine, à 2.320.734 kil.,
et la sortie des poivres cambodgiens étant de 1.691.109 kil., il reste, pour les
productions cochinchinoises, environ 729.000 kil.
V
Le budget du Protectorat a perçu sur les plantations de poivre des quatre pro-
vinces du Cambodge, depuis 1891, époque où le roi lui a cédé ce revenu, les
sommes suivantes :
TABLEAU VI
ANNÉES PRÉVISIONS RECETTES EFFECTUÉES
1891 6.000 $ Les budgets des années 1891 à 1891 ne donnent pas les recettes
1892 14.000 etlectuées à l'appui des prévisions.
1893 12.000
1894 18.000
1895 24.000
1896 30.000 25.881$75
1897 30.000 1 34883 00
1898 00 oon ) Seront publiés au budget de 1900. — Les trois provinces de
( Kampot, Péam et Bântéay-Méas ont produit 39.750 8 01.
1899 50.000 r. 64.093$50
Voici les mêmes chiffres par provinces et pour les trois dernières années :
TABLEAU VII
PROVINCES 1897 1898 1899 TOTAUX
S S s
Kampot. 9.130 13 13.858 20 18.806 20 41.19453
Péam. 16.40469 23.92337 30.849 95 71.178 01
Bântéay-Méas 1.250 00 1.968 44 2.643 95 5.862 39
39.750 01 118.834 93
Tréang 8.098 18 11.19340
34.883 00 » 64.093 50 »
LES ARBRES A CAOUTCHOUC A CEYLAN (1)
L'arbre à caoutchouc idéal devrait posséder des vaisseaux laticifères nombreux,
tous communiquant librement entre eux et contenant uniquement du caoutchouc
en suspension dans l'eau (émulsion). Aucun des arbres cultivés à Ceylan
n'approche de cet idéal, mais les différentes espèces s'en éloignent, les unes plus,
les autres moins.
(1) Conclusions tirées par M. Villis du Rapport « de M. Parkin sur ses recherches concernant
les plantes à caoutchouc.
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.96%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.96%.
-
-
Page
chiffre de pagination vue 25/32
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://numba.cirad.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k6378351p/f25.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://numba.cirad.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k6378351p/f25.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://numba.cirad.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k6378351p/f25.image
- Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://numba.cirad.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k6378351p
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://numba.cirad.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k6378351p
Facebook
Twitter