Presse et revues
56 pages
Titre : Machinisme agricole tropical
Auteur : Centre d'études et d'expérimentation en mécanisation agricole et technologie alimentaire tropicales (France). Auteur du texte
Éditeur : CIRAD-CEEMAT (Antony)
Date d'édition : 1972-04
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34348839f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : avril 1972 avril 1972
Description : 1972/04 (A10,N38). 1972/04 (A10,N38).
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : conditions spécifiques d'utilisation (sous convention BnF-ADM-2025-035729-01)
Identifiant : ark:/12148/bpt6k1550036c
Source : CIRAD, BH_PEHIST5710
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 25/08/2024
dissement par air « BF 6 L 912 » et quatre « FL 413 »
(120 à 260 ch DIN), 6 cylindres en ligne et 6-8-10-12
en V, de 5.650 à 16.960 cm 3 de cylindrée.
— J LO : 5 monocylindres essence 4 temps, les
« LV » (150-200-300-450-500) dont les puissances
s’étagent de 3,26 à 12 ch DIN, et les cylindrées de
148 à 532 cm 3.
— LOMBARDINI : — 2 Diesel monocylindri-
ques 4 temps « 503 et 505 », de 4 ch DIN et 262 cm 3
de cylindrée ;
— 3 autres Diesel de 2, 3 et
4 cylindres 4 temps, les « 832-833-834 », de 30-45 et
60 ch DIN.
— PERKINS : dont l’usine française, filiale de
MASSEY-FERGUSON, a fermé en 1971 (rationali-
sation des fabrications), annonçait le « V 8-605 », de
fabrication anglaise, d’une cylindrée approchant
10 1.
— VM : 4 Diesel, 4 temps « 1306 ... 1312 », de
150 à 300 ch DIN, 6-8-10-12 cylindres en V de
11.143 à 22.287 cm 3 de cylindrée.
— Pour les Groupes Electrogènes \
— BERNARD-MOTEURS : les 318 A/M ap 603,
117/M ap 6141 et 239 AM ap 6071, à moteur
BERNARD (2-3-4,5 ch DIN) et alternateur
BERNARD de 1, 1,4 et 2,1 kW.
— BRIBAN : 5 nouveautés « Z » (1025 ... 3025) ou
« ZS Garba M », à moteur ASPERA ou BRIGGS et
STRATTON (3 à 9 ch), avec alternateurs ZEUS de
0,6 à 4 kW.
— HONDA : le « EC 1500 », à moteur HONDA et
alternateur FAWAFUJI de 1,2 kW.
Ce ne sont pas les peu nombreuses citations
ci-dessus qui peuvent donner, même de loin, un
reflet de ce qu’on pouvait voir au 43e S. I. M. A.
dans le domaine des moteurs. Surtout sans aborder
la question sous l’angle de ceux réalisés par les
Constructeurs de tracteurs au premier chef ou de
moissonneuses-batteuses, par exemple ; ce qui
pourrait conduire loin, quand on sait que les firmes
multinationales ont — de plus en plus — des usines
spécialisées, dans tel ou tel pays, pour équiper les
engins construits par les autres usines du groupe.
Il reste que les « spécialistes » moteurs, éventuelle-
ment intégrés dans un ensemble plus vaste, qui pro-
posent leurs fabrications à la clientèle du Salon, sont
plus d’une trentaine, que certains ont des stands très
importants, alors que nos comptes rendus ne réper-
torient qu’une partie des nouveautés... signalées;
ce qui implique que, même sous cet angle réduit, les
propositions sont très nombreuses et variées. Nous
Machinisme Agricole Tropical — N° 38.
avons, trop souvent, écrit qu’actuellement on pou-
vait trouver tout ce qu’on pouvait désirer, dans les
différents types, pour ne pas nous répéter en réper-
toriant ces derniers — une fois de plus.
Mais nous rappellerons à nos Lecteurs qu’ils doi-
vent, la plupart du temps, faire confiance à l’impor-
tateur du matériel motorisé, en faisant connaître
leur préférence s’il y a choix possible (bases : régime
le moins rapide, alésage prévu initialement pour le
modèle...) et à son service après-vente ; en n’ou-
bliant pas que certains constructeurs de moteurs
ont — depuis peu — des représentations locales,
dont la présence est, au moins, un stimulant utile
pour le commerce traditionnel.
T racteurs.
De façon assez éclectique nous allons, une fois de
plus, faire un bref répertoire des nouveautés qui
ont été proposées à l’attention des Visiteurs. Sans
prétendre en avoir fait le tour de façon très atten-
tive, ce qui est toujours difficile eu égard à l’affluence,
ou apprécié toutes les qualités, faute souvent
de la fourniture de renseignements suffisants, nous
pouvons avancer qu’il y avait presque une centaine
de tracteurs nouveaux au Salon, par rapport à un
nombre beaucoup plus grand d’« anciens ». Il est bien
évident que ces « nouveautés » étaient très inégales
et, plutôt que de reprendre les différentes catégories
de tracteurs, leurs équipements mécaniques, leur
réalisation pratique, etc..., pour les confronter avec
les nouvelles propositions afin de dégager rationnel-
lement les idées évolutives, ce qui —■ a priori —
n’ajouterait rien à ce que nous avons déjà tenté de
trop nombreuses fois, nous résumerons des impres-
sions.
Il nous a paru y avoir de moins en moins de
« vrais » tracteurs d’une puissance inférieure à 30 ch.
D’autre part une tendance semble pouvoir être
décelée pour augmenter l’empattement des engins,
par le recours à des solutions différentes (carter
supplémentaire chez MASSEY-FERGUSON, aban-
don des moteurs en V chez SAME, par exemple)
pour améliorer le couple anti-cabrage.
Une certaine recherche pour chausser de meilleure
façon les trains avant des « adaptations » de modèles
2 roues motrices en modèles 4 roues motrices ; puis-
que là se confirme l’évolution qui dure depuis plu-
sieurs années.
Une insistance assez caractéristique pour allier
les arguments de sécurité (cabines, arceaux) avec
ceux du confort du conducteur.
Enfin, sur le plan de l’« Information », sur laquelle
nous avons orienté nos « Avant Premières », un
effort des Exposants pour fournir les indications de
puissance en ch DIN ou même DIN et SAE, alors
que sont encore peu nombreux ceux qui établissent
des fiches techniques dignes de ce nom (malheureu-
sement pas de façon « normalisée »).
(120 à 260 ch DIN), 6 cylindres en ligne et 6-8-10-12
en V, de 5.650 à 16.960 cm 3 de cylindrée.
— J LO : 5 monocylindres essence 4 temps, les
« LV » (150-200-300-450-500) dont les puissances
s’étagent de 3,26 à 12 ch DIN, et les cylindrées de
148 à 532 cm 3.
— LOMBARDINI : — 2 Diesel monocylindri-
ques 4 temps « 503 et 505 », de 4 ch DIN et 262 cm 3
de cylindrée ;
— 3 autres Diesel de 2, 3 et
4 cylindres 4 temps, les « 832-833-834 », de 30-45 et
60 ch DIN.
— PERKINS : dont l’usine française, filiale de
MASSEY-FERGUSON, a fermé en 1971 (rationali-
sation des fabrications), annonçait le « V 8-605 », de
fabrication anglaise, d’une cylindrée approchant
10 1.
— VM : 4 Diesel, 4 temps « 1306 ... 1312 », de
150 à 300 ch DIN, 6-8-10-12 cylindres en V de
11.143 à 22.287 cm 3 de cylindrée.
— Pour les Groupes Electrogènes \
— BERNARD-MOTEURS : les 318 A/M ap 603,
117/M ap 6141 et 239 AM ap 6071, à moteur
BERNARD (2-3-4,5 ch DIN) et alternateur
BERNARD de 1, 1,4 et 2,1 kW.
— BRIBAN : 5 nouveautés « Z » (1025 ... 3025) ou
« ZS Garba M », à moteur ASPERA ou BRIGGS et
STRATTON (3 à 9 ch), avec alternateurs ZEUS de
0,6 à 4 kW.
— HONDA : le « EC 1500 », à moteur HONDA et
alternateur FAWAFUJI de 1,2 kW.
Ce ne sont pas les peu nombreuses citations
ci-dessus qui peuvent donner, même de loin, un
reflet de ce qu’on pouvait voir au 43e S. I. M. A.
dans le domaine des moteurs. Surtout sans aborder
la question sous l’angle de ceux réalisés par les
Constructeurs de tracteurs au premier chef ou de
moissonneuses-batteuses, par exemple ; ce qui
pourrait conduire loin, quand on sait que les firmes
multinationales ont — de plus en plus — des usines
spécialisées, dans tel ou tel pays, pour équiper les
engins construits par les autres usines du groupe.
Il reste que les « spécialistes » moteurs, éventuelle-
ment intégrés dans un ensemble plus vaste, qui pro-
posent leurs fabrications à la clientèle du Salon, sont
plus d’une trentaine, que certains ont des stands très
importants, alors que nos comptes rendus ne réper-
torient qu’une partie des nouveautés... signalées;
ce qui implique que, même sous cet angle réduit, les
propositions sont très nombreuses et variées. Nous
Machinisme Agricole Tropical — N° 38.
avons, trop souvent, écrit qu’actuellement on pou-
vait trouver tout ce qu’on pouvait désirer, dans les
différents types, pour ne pas nous répéter en réper-
toriant ces derniers — une fois de plus.
Mais nous rappellerons à nos Lecteurs qu’ils doi-
vent, la plupart du temps, faire confiance à l’impor-
tateur du matériel motorisé, en faisant connaître
leur préférence s’il y a choix possible (bases : régime
le moins rapide, alésage prévu initialement pour le
modèle...) et à son service après-vente ; en n’ou-
bliant pas que certains constructeurs de moteurs
ont — depuis peu — des représentations locales,
dont la présence est, au moins, un stimulant utile
pour le commerce traditionnel.
T racteurs.
De façon assez éclectique nous allons, une fois de
plus, faire un bref répertoire des nouveautés qui
ont été proposées à l’attention des Visiteurs. Sans
prétendre en avoir fait le tour de façon très atten-
tive, ce qui est toujours difficile eu égard à l’affluence,
ou apprécié toutes les qualités, faute souvent
de la fourniture de renseignements suffisants, nous
pouvons avancer qu’il y avait presque une centaine
de tracteurs nouveaux au Salon, par rapport à un
nombre beaucoup plus grand d’« anciens ». Il est bien
évident que ces « nouveautés » étaient très inégales
et, plutôt que de reprendre les différentes catégories
de tracteurs, leurs équipements mécaniques, leur
réalisation pratique, etc..., pour les confronter avec
les nouvelles propositions afin de dégager rationnel-
lement les idées évolutives, ce qui —■ a priori —
n’ajouterait rien à ce que nous avons déjà tenté de
trop nombreuses fois, nous résumerons des impres-
sions.
Il nous a paru y avoir de moins en moins de
« vrais » tracteurs d’une puissance inférieure à 30 ch.
D’autre part une tendance semble pouvoir être
décelée pour augmenter l’empattement des engins,
par le recours à des solutions différentes (carter
supplémentaire chez MASSEY-FERGUSON, aban-
don des moteurs en V chez SAME, par exemple)
pour améliorer le couple anti-cabrage.
Une certaine recherche pour chausser de meilleure
façon les trains avant des « adaptations » de modèles
2 roues motrices en modèles 4 roues motrices ; puis-
que là se confirme l’évolution qui dure depuis plu-
sieurs années.
Une insistance assez caractéristique pour allier
les arguments de sécurité (cabines, arceaux) avec
ceux du confort du conducteur.
Enfin, sur le plan de l’« Information », sur laquelle
nous avons orienté nos « Avant Premières », un
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