Titre : Revue de botanique appliquée et d'agriculture coloniale : bulletin du Laboratoire d'agronomie coloniale / dir. Auguste Chevalier
Auteur : Laboratoire d'agronomie coloniale (Paris). Auteur du texte
Éditeur : Laboratoire d'agronomie coloniale (Paris)
Date d'édition : 1934-09-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34378376w
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 11286 Nombre total de vues : 11286
Description : 01 septembre 1934 01 septembre 1934
Description : 1934/09/01 (A14,N157)-1934/12/31 (A14,N160). 1934/09/01 (A14,N157)-1934/12/31 (A14,N160).
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k1258448q
Source : CIRAD, 8-S-16320
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 22/05/2016
- Aller à la page de la table des matièresNP
- SOMMAIRE du N° 150
- Actes et Comptes Rendus de l'Association "Colonies-Sciences" (9° 104).
- SOMMAIRE du N° 151
- SOMMAIRE du N ° 152
- SOMMAIRE du N° 153
- SOMMAIRE du N° 154
- SOMMAIRE du N° 155
- SOMMAIRE des Nos 156-157
- SOMMAIRE du N° 158
- .......... Page(s) .......... 181
- SOMMAIRE du N° 159
- SOMMAIRE du N° 160
— 72L1 —
causée par des Nématodes vivant en parasites dans les racines de l'ara-
chide, STEINEH a pu observer G88 de ces vers appartenant il dix espèces
dont quelques-unes nouvelles.
Il est prouvé aujourd'hui que les Nématodes ne sont pas cause de
l'infection, mais ils s'établissent de préférence dans les plants déjà
malades.
On a constaté que la maladie n'est transmise ni par les graines, ni
par les eaux, ni par le vent ; elle ne l'est pas non plus par le sol qui a
porté une récolte malade. S,roltEY ctBo'rroMLEY l'ont transmise par la
greffe à des plants vigoureux, mais non par inoculation de sève de
plantes malades.
Notons à titre documentaire, que dans l'Inde, à Madras, les cultiva-
teurs indigènes attribuent le Clump (qui semble bien identique à la
Rosette) qui n'existe que sporadiquement, à la pauvreté du sol et à
l emploi comme semences de graines insuffisamment mures (opinion
rapportée en 1928 par SUNDAIÎAHAMAN).
Au début de la mise en culture des arachides (avant la floraison et
au début de celle-ci) il y a peu de plantes infestées, tant en Afrique du
Sud qu'en Afrique Occidentale; la maladie progresse peu à peu et elle
devient généralement fréquente à l'arriôre-saison.
Cette progression serait due à la dissémination générale d'Aphides
ailés, représentant la génération issue de colonies sur plants malades
précoces.
Aussi STOHEY et Miss BOTTOMLEY pensent que l'infection initiale
provient des plants très précoces résultant des graines restées en terre
et qui germent à l'automne ou au printemps. Ce qui semble le prouver
c'est qu'au Transvaal l'infection de printemps est plus grave dans les
saisons faisant suite à des hivers exceptionnellement pluvieux. Aussi
est-il recommandé de détruire tous les plants subspontanés qui survi-
vent à l'hiver.
De même dans les pays tropicaux il faut absolument détruire tous les
plants (lui persistent en saison sèche, ou ceux qui se développent pré-
cocernen t sans semis, de graines restées en terre (Sakltagnye des
Wolofs).
En Afrique du Sud, dans la zone de culture de l'Arachide, on n'a
rencontré l'Aphis sur aucune plante sauvage, mais on en a découvert
de petites colonies en juillet et août, sur des seedlings d','/!'llcltis res-
semés d'eux-mêmes. Il semble donc qu'au cours de l'hiver une faible
reproduction parthénogénétique des Aphis sur ces plantes s'est eltec-
tuée.
causée par des Nématodes vivant en parasites dans les racines de l'ara-
chide, STEINEH a pu observer G88 de ces vers appartenant il dix espèces
dont quelques-unes nouvelles.
Il est prouvé aujourd'hui que les Nématodes ne sont pas cause de
l'infection, mais ils s'établissent de préférence dans les plants déjà
malades.
On a constaté que la maladie n'est transmise ni par les graines, ni
par les eaux, ni par le vent ; elle ne l'est pas non plus par le sol qui a
porté une récolte malade. S,roltEY ctBo'rroMLEY l'ont transmise par la
greffe à des plants vigoureux, mais non par inoculation de sève de
plantes malades.
Notons à titre documentaire, que dans l'Inde, à Madras, les cultiva-
teurs indigènes attribuent le Clump (qui semble bien identique à la
Rosette) qui n'existe que sporadiquement, à la pauvreté du sol et à
l emploi comme semences de graines insuffisamment mures (opinion
rapportée en 1928 par SUNDAIÎAHAMAN).
Au début de la mise en culture des arachides (avant la floraison et
au début de celle-ci) il y a peu de plantes infestées, tant en Afrique du
Sud qu'en Afrique Occidentale; la maladie progresse peu à peu et elle
devient généralement fréquente à l'arriôre-saison.
Cette progression serait due à la dissémination générale d'Aphides
ailés, représentant la génération issue de colonies sur plants malades
précoces.
Aussi STOHEY et Miss BOTTOMLEY pensent que l'infection initiale
provient des plants très précoces résultant des graines restées en terre
et qui germent à l'automne ou au printemps. Ce qui semble le prouver
c'est qu'au Transvaal l'infection de printemps est plus grave dans les
saisons faisant suite à des hivers exceptionnellement pluvieux. Aussi
est-il recommandé de détruire tous les plants subspontanés qui survi-
vent à l'hiver.
De même dans les pays tropicaux il faut absolument détruire tous les
plants (lui persistent en saison sèche, ou ceux qui se développent pré-
cocernen t sans semis, de graines restées en terre (Sakltagnye des
Wolofs).
En Afrique du Sud, dans la zone de culture de l'Arachide, on n'a
rencontré l'Aphis sur aucune plante sauvage, mais on en a découvert
de petites colonies en juillet et août, sur des seedlings d','/!'llcltis res-
semés d'eux-mêmes. Il semble donc qu'au cours de l'hiver une faible
reproduction parthénogénétique des Aphis sur ces plantes s'est eltec-
tuée.
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.3%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.3%.
- Auteurs similaires Agence économique des territoires africains sous mandat Agence économique des territoires africains sous mandat /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "Agence économique des territoires africains sous mandat" or dc.contributor adj "Agence économique des territoires africains sous mandat")
-
-
Page
chiffre de pagination vue 21/678
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://numba.cirad.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k1258448q/f21.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://numba.cirad.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k1258448q/f21.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://numba.cirad.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k1258448q/f21.image
- Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://numba.cirad.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k1258448q
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://numba.cirad.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k1258448q
Facebook
Twitter