Titre : Revue de botanique appliquée et d'agriculture coloniale : bulletin du Laboratoire d'agronomie coloniale / dir. Auguste Chevalier
Auteur : Laboratoire d'agronomie coloniale (Paris). Auteur du texte
Éditeur : Laboratoire d'agronomie coloniale (Paris)
Date d'édition : 1931-09-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34378376w
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 11286 Nombre total de vues : 11286
Description : 01 septembre 1931 01 septembre 1931
Description : 1931/09/01 (A11,N121)-1931/12/31 (A11,N124). 1931/09/01 (A11,N121)-1931/12/31 (A11,N124).
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k1256082r
Source : CIRAD, 8-S-16320
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 07/11/2016
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- SOMMAIRE
- du N° 114
- SOMMAIRE du N° 115
- du N° 116
- du N° 117
- .......... Page(s) .......... 97
- Revue de Botanique appliquée et d’Agriculture tropicale
- du N° 119
- des Nos 120-121
- .......... Page(s) .......... 169
- .......... Page(s) .......... 169
- Fiches sur les tanins d’Outre-Mer (suite et fin):
- .......... Page(s) .......... 177
- Congrès de la production forestière coloniale et nord-africaine:
- .......... Page(s) .......... 180
- .......... Page(s) .......... 183
- Congrès international du bois et de la sylviculture:
- .......... Page(s) .......... 188
- .......... Page(s) .......... 190
- .......... Page(s) .......... 194
- .......... Page(s) .......... 194
- Revue de Botanique appliquée et d’Agriculture tropicale (N° 120).
- Revue de Botanique appliquée et d’Agriculture tropicale (N° 121).
- du N° 122
- du N° 123
— 752 —
seulement d 'Eur,,ilyptus, mais que toutes les espèces ou variétés sou-
mises aux expériences la possédaient d'une façon plus ou moins pro-
noncée.
En effet, en un premier essai, nous avons fait couper des arbres
âgés de 5 ans, appartenant à 30 espèces différentes, en nombre variable
de 21 à 377 exemplaires par espèce, et au bout de 10 mois le pourcen-
tage d individus ayant bourgeonné a été soigneusement vérifié.
Aucune espèce n'a donné moins de 74 0/o d'exemplaires bourgeonné»,
deux espèces ont donné moins de 80 %, trois de 80 à 89 %, onze de
90. à 99 0/, et quatorze 100 %.
Plus tard, en une nouvelle expérience faite sur 2 000 Eucalyptus
appartenant à 10 espèces différentes et âgés de 7 ans et 6 mois, les
pourcentages de bourgeonnement au bout de G mois variaient de 53 à
96 %, dont 6 entre 92 et 96 %.
Dans nombre de cas observés par nous, dans des conditions très
variées, les pourcentages étaient toujours supérieurs à 90 %.
En 1925 26, sur 5 170 Eucalyptus abattus à Jundiahy, 12 pourcen-
tages sur 15 étaient de plus de 90% l'âge des Eucalyptus était compris
entre 19 et 23 ans. Un an après la coupe, la taille moyenne des rejets
était d environ 3 m. 35, et à peu près la même pour toutes les espèces,
alors que dans un autre peuplement à sol plus fertile, cette taille attei-
gnait 3 m. 85.
C'est dans le courant de la deuxième année après l'ébourgeonnement
que les rejets se développent le plus.
Rendement. C est une question au sujet de laquelle on ne trouve
en général guère de données positives dans les livres sur la culture de
l'Eucalyptus. Nous allons donc passer en revue quelques chiffres
obtenus au Service Forestier de la Companhia Paulista.
D'abord, en 1927, nous avons fait abattre à Rio Claro des Eucalyptus
appartenant à 21 espèces différentes, âgés de 7 ans, plantés en carré à
la distance de 2 m., couvrant une surface de 1500 m. carrés pour
chaque espèce. Le bois obtenu était destiné au chauffage.
Une parcelle d'E. saliqna, de 7 ans, plantés à 2 m. 50, a produit
407 stères par ha.
Au début de 1927, la Companhia Paulista ayant résolu de se servir de
ses plantations d'Eucalyptus pour en extraire du bois de chauffage pour
ses locomotives à voie large, commença à exploiter en grand sept de
ses plantations.
seulement d 'Eur,,ilyptus, mais que toutes les espèces ou variétés sou-
mises aux expériences la possédaient d'une façon plus ou moins pro-
noncée.
En effet, en un premier essai, nous avons fait couper des arbres
âgés de 5 ans, appartenant à 30 espèces différentes, en nombre variable
de 21 à 377 exemplaires par espèce, et au bout de 10 mois le pourcen-
tage d individus ayant bourgeonné a été soigneusement vérifié.
Aucune espèce n'a donné moins de 74 0/o d'exemplaires bourgeonné»,
deux espèces ont donné moins de 80 %, trois de 80 à 89 %, onze de
90. à 99 0/, et quatorze 100 %.
Plus tard, en une nouvelle expérience faite sur 2 000 Eucalyptus
appartenant à 10 espèces différentes et âgés de 7 ans et 6 mois, les
pourcentages de bourgeonnement au bout de G mois variaient de 53 à
96 %, dont 6 entre 92 et 96 %.
Dans nombre de cas observés par nous, dans des conditions très
variées, les pourcentages étaient toujours supérieurs à 90 %.
En 1925 26, sur 5 170 Eucalyptus abattus à Jundiahy, 12 pourcen-
tages sur 15 étaient de plus de 90% l'âge des Eucalyptus était compris
entre 19 et 23 ans. Un an après la coupe, la taille moyenne des rejets
était d environ 3 m. 35, et à peu près la même pour toutes les espèces,
alors que dans un autre peuplement à sol plus fertile, cette taille attei-
gnait 3 m. 85.
C'est dans le courant de la deuxième année après l'ébourgeonnement
que les rejets se développent le plus.
Rendement. C est une question au sujet de laquelle on ne trouve
en général guère de données positives dans les livres sur la culture de
l'Eucalyptus. Nous allons donc passer en revue quelques chiffres
obtenus au Service Forestier de la Companhia Paulista.
D'abord, en 1927, nous avons fait abattre à Rio Claro des Eucalyptus
appartenant à 21 espèces différentes, âgés de 7 ans, plantés en carré à
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chaque espèce. Le bois obtenu était destiné au chauffage.
Une parcelle d'E. saliqna, de 7 ans, plantés à 2 m. 50, a produit
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Au début de 1927, la Companhia Paulista ayant résolu de se servir de
ses plantations d'Eucalyptus pour en extraire du bois de chauffage pour
ses locomotives à voie large, commença à exploiter en grand sept de
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