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- Le crédit populaire, agricole et commercial aux Indes néerlandaises, par Yves HENRY:
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- Les Travaux publics de l'Indochine par A. POUYANNE:
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- Note sur l'aréquier en Indochine par P. C.
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- L'Industrie minière en Indochine en 1925, (Rapport du Service des mines de l'Indochine).
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- TABLE DES MATIÈRES DU BULLETIN ÉCONOMIQUE DE L'INDOCHINE pour l'année 1926
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- CRÉDIT. - Le crédit populaire, agricole et commercial aux Indes néerlandaises, par Yves Henry:
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- MINES. - L'Industrie minière en Indochine en 1925, (Rapport du Service des mines de l'Indochine).
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- N
- NAVIGATION. - Voir supra " COMMERCE "
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- TRAVAUX PUBLICS. - Les Travaux publics de l'Indochine par A. Pouyanne:
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— 71 —
il èst rideVenU le « Crédit populaire agricole et commercial ».
le perahpns de crédit ont débuté en 1890, sous leur forme la plus simple;
le Crédit en natur, avec la création des greniers communaux (« desaloem-
ongs ») que l'on pourrait appeler tout aussi bien : banques de paddy.
,es greniers 6Ulent des fortunes diverses. Indispensables dans certaines
e-celonsi Peu ou pas utiles dans d'autres, gérés avec un souci variable de leur
objectif pr e Jamais contrôlés, ils ne furent acheminés vers une organi-
sation 0Ue et de caractère bancaire qu'à partir de 1900, date de la
sation "A du/Cnrédit populaire ».
Au c6 en nlture qui s'était révélé efficace dans nombre de situations,
niais qlli Innquilit de mobilité,et se limitait de par sa nature aux prêts mini-
mes, le QUV6rrieaieat superposa le prêt en argent par le développement
'U Un Sy t'
un Système complet de banques,
A la b 0" trouve un réseau abondant de banques villageoises (« desaban-
^en ft ) g InsLItuées dans le cadre de la commune, que nous appellerons, à cause de
A ad' anques commnnales, et chargées d'assurer la masse des petits prêts,
^Messus Un groupe de Banques provinciales (« Volksbanken ») a pour
fission de Cl ler- les premières, ainsi que de consentir directement des
plus iinportants.
Cet "1^1*16 a conservé pendant 13 ans une forme purement adminis-
pro" Le°^®rnerïleJlli le dirigeait et créditait directement les banques
V111Clale par l'intermédiaire de banques privées — principalement la semi-
officielle « anques pl'lvees - prmClpa ement a semI-
L ;_'la?lH de prêts particulier's résidait dans les cautionnements habituels.
ine- ,p,el:lence ne tarda pas à montrer les défectuosités du système: son
soualacite à s'adapter à l'objet pour lequel il avait été créé, par manque de
SOUP'esse et de cornpî-éhension des besoins spéciaux de l'agriculture, par ses
""I'Plications et son fort-nalisme; son caractère onéreux pour l'emprunteur
.aUq devait acquItter de multiples commissions, et pour le budget des Indes
Lue l Coûtait annuellement environ 500.000 florins.
le e Gouvernement se décida alors à le tirer de la gangue administrative qui
il Paralysait èt le l'endait impopulaire. Il en fit un organisme autonome dont
il Pessa à être le banquier. Il créa la Caisse centrale (« Central Kas »), à laquelle
passa « S' ()Il crédit sur les banques ré-ionales et dont il s'engano-ea à faire e
capital jusqu'à concurrence de 5 millions de florins.
titu îûodi^ profondément les conditions des prêts. Au cautionnement il subs-
sio le gage réel représenté par la richesse acquise, estimée par des Commis-
o com
sions munales sous le contrôle des « Volksbanken ». Il décentralisa le petit
P Olt et le l'endit accessible à tous les besoins de la petite culture, en le
portant d mêmes, où les emprunteurs touchent le montant des
dans les villales mômes, où les emprunteurs touchent le montant des
Prêts, directement de la main d'agents ou de notables commissionnés à cet effet.
- Juoeant l'organisme assez puissant désormais pour vivre de
ses propres ressources, il lui remit la charge de toutes ses dépenses.
il èst rideVenU le « Crédit populaire agricole et commercial ».
le perahpns de crédit ont débuté en 1890, sous leur forme la plus simple;
le Crédit en natur, avec la création des greniers communaux (« desaloem-
ongs ») que l'on pourrait appeler tout aussi bien : banques de paddy.
,es greniers 6Ulent des fortunes diverses. Indispensables dans certaines
e-celonsi Peu ou pas utiles dans d'autres, gérés avec un souci variable de leur
objectif pr e Jamais contrôlés, ils ne furent acheminés vers une organi-
sation 0Ue et de caractère bancaire qu'à partir de 1900, date de la
sation "A du/Cnrédit populaire ».
Au c6 en nlture qui s'était révélé efficace dans nombre de situations,
niais qlli Innquilit de mobilité,et se limitait de par sa nature aux prêts mini-
mes, le QUV6rrieaieat superposa le prêt en argent par le développement
'U Un Sy t'
un Système complet de banques,
A la b 0" trouve un réseau abondant de banques villageoises (« desaban-
^en ft ) g InsLItuées dans le cadre de la commune, que nous appellerons, à cause de
A ad' anques commnnales, et chargées d'assurer la masse des petits prêts,
^Messus Un groupe de Banques provinciales (« Volksbanken ») a pour
fission de Cl ler- les premières, ainsi que de consentir directement des
plus iinportants.
Cet "1^1*16 a conservé pendant 13 ans une forme purement adminis-
pro" Le°^®rnerïleJlli le dirigeait et créditait directement les banques
V111Clale par l'intermédiaire de banques privées — principalement la semi-
officielle « anques pl'lvees - prmClpa ement a semI-
L ;_'la?lH de prêts particulier's résidait dans les cautionnements habituels.
ine- ,p,el:lence ne tarda pas à montrer les défectuosités du système: son
soualacite à s'adapter à l'objet pour lequel il avait été créé, par manque de
SOUP'esse et de cornpî-éhension des besoins spéciaux de l'agriculture, par ses
""I'Plications et son fort-nalisme; son caractère onéreux pour l'emprunteur
.aUq devait acquItter de multiples commissions, et pour le budget des Indes
Lue l Coûtait annuellement environ 500.000 florins.
le e Gouvernement se décida alors à le tirer de la gangue administrative qui
il Paralysait èt le l'endait impopulaire. Il en fit un organisme autonome dont
il Pessa à être le banquier. Il créa la Caisse centrale (« Central Kas »), à laquelle
passa « S' ()Il crédit sur les banques ré-ionales et dont il s'engano-ea à faire e
capital jusqu'à concurrence de 5 millions de florins.
titu îûodi^ profondément les conditions des prêts. Au cautionnement il subs-
sio le gage réel représenté par la richesse acquise, estimée par des Commis-
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dans les villales mômes, où les emprunteurs touchent le montant des
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