Pyralidæ. ; « Anerastiinæ - De toutes les chenilles perforantes qui s'attaquent à là canne à sucre, celle dé P. saccharella est la plus dangereuse, mais elle est heureusement beaucoup moins commune que les autres. La tête de la chenille est brun clair, le corps blanc, un peu plus foncé par endroits. Longueur, de 20 à 25 millimètres. Elle travaille dans les parties de la plante situées au-dessous de la surface du sol et y forme sa chrysalide.
Le papillon est uniformément brun pâle; il a de 25 à 34 mm. d'envergure.
La canne attaquée par cette chenille se dessèche ou devient rabougrie.
':' "', ','. Inde. ,
TIGE1 : • : ..Sesa,mi-a inferens Wlk.
Noctuidæ ; Acronyctinse Cette espèce, beaucoup plus commune sur d'autres plantes, telles que le riz, le maïs, etc., cause toutefois des ravages considérables. Voir à Riz (tiges). Inde.
Sesamia uniformis Dudg.
La chenille entre par la base des tiges ou des pousses et ne monte jamais beaucoup dans la tige. Elle quitte la canne pour se transformer dans le sol, à l'intérieur d'un petit cocon rond, formé de soie, à l'extérieur duquel sont fixées des particules de terre. Voir à Riz (tiges). Inde.
Anerastia ablutella Z.. ,
Pyralidse ; Anerastiinsæ Longueur de la chenille, 25 mm. Son corps est vert brillant. Elle creuse l'intérieur des tiges et forme sa chrysalide en terre. Le papillon a de 13 à 18 mm.- d'envergure ; il est jaune d'ocre avec les ailes inférieures blanches.
C'est un parasite sérieux des jeunes cannes. Inde.
* Scirpophaga auriflua Z. , - ";,
Pyralidæ ; Schœnobiinœ La chenille est blanc crème, plus foncé par endroits; sa tête est jaune-pâle.
Elle se transforme en chrysalide à l'intérieur de la tige. -
« Les Scirpophaga sont, la plupart du temps, des espèces blanches. L'enver- gure de S. auriflua est de 28 à 3o millimètres chez le mâle et peut aller jusqu'à 5o chez la femelle. Les ailes à bords à peu près parallèles sont un peu arrondies à l'extrémité, elles sont entièrement blanches ainsi que le corps entier sauf la touffe de poils terminale qui est jaune chez le mâle, plus-brune chez la femelle ; on a décrit une espèce à Java sous le nom d'intacta qui paraît n'être qu'une forme d'auriflua avec la touffe terminale rose chez la femelle. »
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