Titre : Bulletin économique de l'Indochine
Auteur : Indochine française. Direction des affaires économiques. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Saïgon)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Hanoï)
Date d'édition : 1918-09-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32728645t
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 55886 Nombre total de vues : 55886
Description : 01 septembre 1918 01 septembre 1918
Description : 1918/09/01 (A21,N132)-1918/10/31. 1918/09/01 (A21,N132)-1918/10/31.
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Description : Collection numérique : France-Vietnam Collection numérique : France-Vietnam
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Protectorats et mandat... Collection numérique : Protectorats et mandat français
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k65347568
Source : CIRAD, 2013-106464
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 28/10/2013
913 -
Au Japon on sait, d'après les observations faites par M. Nakagawa (1) que
les larves ne mangent pas les tiges sèches.
En résumé, les larves ne vivent que sur les tiges vertes.
F. — Attaques des riz aux différentes époques de développement.
, Les mœurs des larves, à chacun de leur âge, sont, comme cela a été dit, peu
différentes. Le total des dommages dans les rizières est, au contraire, très dis-
semblable suivant l'époque du développement du riz à laquelle ils sont causés
et on doit les examiner séparément.
1. - SUR LES « MA » POUSSANT EN PÉPINIÈRE
Les larves nouvellement écloses recherchent les feuilles tendres et enroulées, •
près de la base de la partie entr'ouverte, des jeunes riz encore en pépinière.
es percent les feuilles enroulées, y faisant un très petit sillon transversal.
Dès qu elles rencontrent le centre des feuilles enroulées, elles descendent vers la
racine, perçant et dévorant la portion centrale. Plus tard, l'extrémité du plant
attaqué se fane et blanchit. Le peuple appelle ceci « Shingare ». Quoique le
111 ? » soit complètement attaqué dès son point décroissance, un nouveau rejet
apparait généralement au-dessus de la racine. Le jeune « mi » a seulement
e tige et ne touffe pas comme les autres riz ; de plus, sa racine est très épaisse
et un nouveau plant se développe quand l'ancien est mort. Les larves ne
peuvent généralement pas croître favorablement sur ce plant qui est si petit
qu'elles ne peuvent vivre en lui.
Après que les larves ont atteint la partie la plus basse de la plante, elles sont
contraintes d'aller sur une autre. Ces larves errent à la recherche d'une plante
plus développée, mais elles n'en trouvent pas, et finalement elles meurent ou
"détruites par leurs ennemis naturels. Quoiqu'une larve attaque au moins
n June plant, celui-ci n'est pas complètement tué et il peut être repiqué.
Habituellement les fortes larves ne peuvent être élevées entièrement à l'aide de
« ma ».
Il a été noté au Japon, par M. K. Nakagawa, que les larves ne peuvent vivre
sur les « tua » ; elles sont très rarement rencontrées sur les « ma » qui sont en
r ure de la pépinière (et qui sont plus forts que les autres) ; et leurs dégâts
:sOnt très légers.
1 En résumé, les dégâts en pépinière sont sans influence sur les rendements et
es larves ne peuvent se développer sur les « ma ».
2. — SUR LES RIZ REPIQUÉS
Le préjudice sur les plants développés est différent à chaque période de
roissance et doit être considéré séparément.
(1) Voir le rapport de la Stal. exp. agr. de Nishigahara Vol XXXI.
Au Japon on sait, d'après les observations faites par M. Nakagawa (1) que
les larves ne mangent pas les tiges sèches.
En résumé, les larves ne vivent que sur les tiges vertes.
F. — Attaques des riz aux différentes époques de développement.
, Les mœurs des larves, à chacun de leur âge, sont, comme cela a été dit, peu
différentes. Le total des dommages dans les rizières est, au contraire, très dis-
semblable suivant l'époque du développement du riz à laquelle ils sont causés
et on doit les examiner séparément.
1. - SUR LES « MA » POUSSANT EN PÉPINIÈRE
Les larves nouvellement écloses recherchent les feuilles tendres et enroulées, •
près de la base de la partie entr'ouverte, des jeunes riz encore en pépinière.
es percent les feuilles enroulées, y faisant un très petit sillon transversal.
Dès qu elles rencontrent le centre des feuilles enroulées, elles descendent vers la
racine, perçant et dévorant la portion centrale. Plus tard, l'extrémité du plant
attaqué se fane et blanchit. Le peuple appelle ceci « Shingare ». Quoique le
111 ? » soit complètement attaqué dès son point décroissance, un nouveau rejet
apparait généralement au-dessus de la racine. Le jeune « mi » a seulement
e tige et ne touffe pas comme les autres riz ; de plus, sa racine est très épaisse
et un nouveau plant se développe quand l'ancien est mort. Les larves ne
peuvent généralement pas croître favorablement sur ce plant qui est si petit
qu'elles ne peuvent vivre en lui.
Après que les larves ont atteint la partie la plus basse de la plante, elles sont
contraintes d'aller sur une autre. Ces larves errent à la recherche d'une plante
plus développée, mais elles n'en trouvent pas, et finalement elles meurent ou
"détruites par leurs ennemis naturels. Quoiqu'une larve attaque au moins
n June plant, celui-ci n'est pas complètement tué et il peut être repiqué.
Habituellement les fortes larves ne peuvent être élevées entièrement à l'aide de
« ma ».
Il a été noté au Japon, par M. K. Nakagawa, que les larves ne peuvent vivre
sur les « tua » ; elles sont très rarement rencontrées sur les « ma » qui sont en
r ure de la pépinière (et qui sont plus forts que les autres) ; et leurs dégâts
:sOnt très légers.
1 En résumé, les dégâts en pépinière sont sans influence sur les rendements et
es larves ne peuvent se développer sur les « ma ».
2. — SUR LES RIZ REPIQUÉS
Le préjudice sur les plants développés est différent à chaque période de
roissance et doit être considéré séparément.
(1) Voir le rapport de la Stal. exp. agr. de Nishigahara Vol XXXI.
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