Titre : Coton et culture cotonnière / périodique ... publié par l'Agence générale des colonies
Auteur : Comité d'encouragement aux recherches scientifiques coloniales. Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des colonies. Auteur du texte
Éditeur : Agence générale des colonies (Paris)
Date d'édition : 1927-03-01
Contributeur : Agence de la France d'Outre-mer. Éditeur scientifique
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb327497196
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
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Description : 01 mars 1927 01 mars 1927
Description : 1927/03/01 (FASC1,VOL2)-1927/03/31. 1927/03/01 (FASC1,VOL2)-1927/03/31.
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6460511b
Source : CIRAD, 2012-235622
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 26/03/2013
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- .......... Page(s) .......... 43
LE COTON H NOUV ELLE-CA LÉIM 'NJ E 3
1 6 Nous n avons pu contrô ler ces dires. Toujours est-i l que
e deux habitants de la Nouvelle-Calédonie, MM. POY-
et GUÉNANT, entreprirent de remettre en honneur la cu 1 -
tUr d VENANT, entreprin:nt de remettre en honneur la cu l -
j re du coton en 1906, il existait, épars dans la brousse, des
spécimens descendant des introductions ant é rieures, ayant tous
dus afractères du CossJJpium Peruvianum, rustiques et pro-
du 1 s : c'était le coton calédonien.
Co Les premières cultures qui furent effectuées à Bourail
COMPort aient des espèces américaines, qui furent bientôt dé-
la Sees Pour le coton calédonien et le « Caravonica », qui,
époque, avait une certaine vogue en A lle. P. par
liasuite, la supériorité du produit local s"a Australie. Puis, par
ç]' ^a supénonté du produit local s'affirmant, la Chambre
grai gnculture de Nouméa fit interdire l'importation de toute
au Pne de coton, quelle qu'en fût l'origine, désirant conserver
au produit calédonien toutes ses qualités et éviter tout mé lange
blé C es semences étrangères. En agissant ainsi, cette Assem-
blées non Se l ement protégeait la qualité du coton --a 1 éd on i*en,
Inai 11011 seulement protégeait la qualité du coton ca l é d onien,
Pu Mettait aussi les cultures à l'abri des insectes qui eussent
Pu Int d
produits avec les graines. Il faut en effet noter que,
]\js 1 heure actuelle, on ne connaît au coton, dans l'inté-
tieuf e Ille, que peu de parasites, et à dégâts limités.
Pie coton calédonien, que certains rapportent au Gossy-
Perurianurn, d'autres au Gossypium Brasiliensé, est
enant le seul cultivé dans l'île. Quelle est sa valeur ?
Inent Plante est vivace, très rustique, à large développe-
frais et Couvrant bien le sol, toutes qualités qui diminuent les
rais et ^es aléas de la culture. La plantation, en effet, peut
f°Urn-r Ulle r^co^e pendant plusieurs années. Tandis que
même d es cotons vivaces la cu l ture ne saurait être qu an-
ation dn les autres pays cotonniers, afin d éviter la pullu-
lati0n GS Sectes déprédateurs, ici, grâce à la situation tout
fait 'Cla^e de l'île et aux mesures de protection -que nous
avon SIn d iqué es, le coton peut donner en p l antation p lusieurs
L-a r?Ue Agricole de la Nouvelle Calédonie, organe
de la, ch lllbre d'Agriculture, indique qu'on peut ainsi obte-
tlir tr0 js rec° l tes, en ayant soin, chaque année, de tailler mo-
1 6 Nous n avons pu contrô ler ces dires. Toujours est-i l que
e deux habitants de la Nouvelle-Calédonie, MM. POY-
et GUÉNANT, entreprirent de remettre en honneur la cu 1 -
tUr d VENANT, entreprin:nt de remettre en honneur la cu l -
j re du coton en 1906, il existait, épars dans la brousse, des
spécimens descendant des introductions ant é rieures, ayant tous
dus afractères du CossJJpium Peruvianum, rustiques et pro-
du 1 s : c'était le coton calédonien.
Co Les premières cultures qui furent effectuées à Bourail
COMPort aient des espèces américaines, qui furent bientôt dé-
la Sees Pour le coton calédonien et le « Caravonica », qui,
époque, avait une certaine vogue en A lle. P. par
liasuite, la supériorité du produit local s"a Australie. Puis, par
ç]' ^a supénonté du produit local s'affirmant, la Chambre
grai gnculture de Nouméa fit interdire l'importation de toute
au Pne de coton, quelle qu'en fût l'origine, désirant conserver
au produit calédonien toutes ses qualités et éviter tout mé lange
blé C es semences étrangères. En agissant ainsi, cette Assem-
blées non Se l ement protégeait la qualité du coton --a 1 éd on i*en,
Inai 11011 seulement protégeait la qualité du coton ca l é d onien,
Pu Mettait aussi les cultures à l'abri des insectes qui eussent
Pu Int d
produits avec les graines. Il faut en effet noter que,
]\js 1 heure actuelle, on ne connaît au coton, dans l'inté-
tieuf e Ille, que peu de parasites, et à dégâts limités.
Pie coton calédonien, que certains rapportent au Gossy-
Perurianurn, d'autres au Gossypium Brasiliensé, est
enant le seul cultivé dans l'île. Quelle est sa valeur ?
Inent Plante est vivace, très rustique, à large développe-
frais et Couvrant bien le sol, toutes qualités qui diminuent les
rais et ^es aléas de la culture. La plantation, en effet, peut
f°Urn-r Ulle r^co^e pendant plusieurs années. Tandis que
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