Titre : Bulletin de l'Agence générale des colonies
Auteur : Agence économique des territoires africains sous mandat. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Melun)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1932-09-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb42445178p
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 23647 Nombre total de vues : 23647
Description : 01 septembre 1932 01 septembre 1932
Description : 1932/09/01 (A25,N282)-1932/09/30. 1932/09/01 (A25,N282)-1932/09/30.
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Description : Appartient à l’ensemble documentaire : RfnHisg1 Appartient à l’ensemble documentaire : RfnHisg1
Description : Collection numérique : Bibliothèque Francophone... Collection numérique : Bibliothèque Francophone Numérique
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k64604555
Source : CIRAD, 2012-231802
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 26/03/2013
- Aller à la page de la table des matières1359
- SOMMAIRE DÉTAILLÉ:
ÉTUDES GÉNÉRALES 1365
L'arachide (cultivée au point de vue vivrier), qui se récolte en
septembre et octobre;
Diverses graines oléagineuses ( de courges entre autres),
qui se récoltent d'août à décembre;
Divers légumes et condiments (haricot-arachide, arachide
Sans coques, piment, gingembre, gombos feuilles comestibles'
diverses, poisd'Angol, patates douces, etc.);
Le mil en grappes ou sorgho (variétés diverses), qui n'est
guère cultivé ici que pour la nourriture des chevaux, qui se
récolte en novembre et décembre;
Enfin, depuis quelques années seulement, le fonio a fait son
apparition dans la subdivision de'Boundiali et le mafiioc un peu
Partout. *
Il convient do laisser se développer toutes ces -cultures
Ylvrières et même de pousser à leur intensification. A cause du
Jauger des sauterelles, qui semble malheureusement maintenant
devoir être considéré comme chronique, il semble préférable
de faire favoriser le maïs contre le mil et de pousser au déve-
- Joppement de la culture du manioc.
* la grande culture à encourager est celle du riz, qui
est à la fois vivrière et d'exportation. Elle intéresse tout le
: monde: lïndigèney le commerce européen, les chantiers dé
travaux publics et les entreprises privées de toute la colonie.
Elle est connue et aimée (lu Sénoufo..Des débouchés
commerciaux existent et deux, usines de décorticage se sont
$me établies à Korhogo. Mais il est nécessaire de poursuivre
a la fois l'intensification de cette culture et l'amélioration du
produit. Pour cette dernière,, le sélectionnement des espèces
est à mettre en tout premier plan
C'e::;t cette œuvre qui, avec @ le-décoflicage mécanique sur
place assurera la supériorité marchande des riz du cercle de
• ngsur ceux des régions avoisinantes. Ce sélectionnement est
déjà commencé sous la direction du Cercle et de la Société de
prévoyance. Deux espèces indigènes, l'une de marais (Koungbo),
l'autre de plaine (Tiolo), ont été retenues, à l'exclusion de'
tes autres. Des rizières d'essai ont été établies, qui ont
dès la première année, des résultats très satifaisants. Le
produit en a été distribué, en semences das des villages bien
Produit en a été distribué, en semences dans des villages bien
, S'i cet. effort est poursuivi, on pourra dans très peu
d années poursuivre la disparition des variétés moins bonnes
ou. de il -
emauvaiseprésentation marchande.
L'arachide (cultivée au point de vue vivrier), qui se récolte en
septembre et octobre;
Diverses graines oléagineuses ( de courges entre autres),
qui se récoltent d'août à décembre;
Divers légumes et condiments (haricot-arachide, arachide
Sans coques, piment, gingembre, gombos feuilles comestibles'
diverses, poisd'Angol, patates douces, etc.);
Le mil en grappes ou sorgho (variétés diverses), qui n'est
guère cultivé ici que pour la nourriture des chevaux, qui se
récolte en novembre et décembre;
Enfin, depuis quelques années seulement, le fonio a fait son
apparition dans la subdivision de'Boundiali et le mafiioc un peu
Partout. *
Il convient do laisser se développer toutes ces -cultures
Ylvrières et même de pousser à leur intensification. A cause du
Jauger des sauterelles, qui semble malheureusement maintenant
devoir être considéré comme chronique, il semble préférable
de faire favoriser le maïs contre le mil et de pousser au déve-
- Joppement de la culture du manioc.
* la grande culture à encourager est celle du riz, qui
est à la fois vivrière et d'exportation. Elle intéresse tout le
: monde: lïndigèney le commerce européen, les chantiers dé
travaux publics et les entreprises privées de toute la colonie.
Elle est connue et aimée (lu Sénoufo..Des débouchés
commerciaux existent et deux, usines de décorticage se sont
$me établies à Korhogo. Mais il est nécessaire de poursuivre
a la fois l'intensification de cette culture et l'amélioration du
produit. Pour cette dernière,, le sélectionnement des espèces
est à mettre en tout premier plan
C'e::;t cette œuvre qui, avec @ le-décoflicage mécanique sur
place assurera la supériorité marchande des riz du cercle de
• ngsur ceux des régions avoisinantes. Ce sélectionnement est
déjà commencé sous la direction du Cercle et de la Société de
prévoyance. Deux espèces indigènes, l'une de marais (Koungbo),
l'autre de plaine (Tiolo), ont été retenues, à l'exclusion de'
tes autres. Des rizières d'essai ont été établies, qui ont
dès la première année, des résultats très satifaisants. Le
produit en a été distribué, en semences das des villages bien
Produit en a été distribué, en semences dans des villages bien
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d années poursuivre la disparition des variétés moins bonnes
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