Titre : Bulletin de l'Agence générale des colonies
Auteur : Agence économique des territoires africains sous mandat. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Melun)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1927-02-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb42445178p
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
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Description : 01 février 1927 01 février 1927
Description : 1927/02/01 (A20,N221)-1927/02/28. 1927/02/01 (A20,N221)-1927/02/28.
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Description : Appartient à l’ensemble documentaire : RfnHisg1 Appartient à l’ensemble documentaire : RfnHisg1
Description : Collection numérique : Bibliothèque Francophone... Collection numérique : Bibliothèque Francophone Numérique
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6459222m
Source : CIRAD, 2012-231802
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/01/2013
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- Statistiques. Rapports commerciaux:
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- Renseignements divers:
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252 BULLETIN DE L'AGENCE GÉNÉRALE DES COLONIËS
même race, autant que possible, à un entraînement progressif,
afin d'éviter la fatigue du début. Peu à peu ils sont sélectionnés
et spécialisés, suivant leurs aptitudes et leur résistance
physique.
La journée de travail est de neuf heures: quatre heures, le
matin; repas et repos de 11 heures à 1 heure, sous des abris
aménagés sur les chantiers ; reprise du travail jusqu'à six heures.
Retour au campement voisin où la cuisine est préparée,
moyennant un salaire de 0 fr. 50 et la ration, par des femmes
de la tribu, admises en nombre convenable.
Les travailleurs ont la disposition du samedi après-midi pour
procéder au nettoyage de leur linge ou pour leurs ablutions
complètes soit sous les prises d'eau d'eau installées le long des
chantiers, soit, ce qu'ils préfèrent, dans les rivières voisines, très
abondantes et très limpides. Le dimanche est consacré aux
réjouissances.
Engagés d'abord pour six mois, les nouveaux travailleurs
font maintenant un séjour de neuf mois, jours de repos compris.
En raison de l'importance et de la durée des travaux, du souci
de ne recruter que dans les régions !es plus voisines, du fait
constaté que le travail aux chantiers avec sa régularité, son
alimentation quotidienne carnée, la distribution de quinine,
développe singulièrement les individus, il est apparu qu'une
prolongation de trois mois permet d'établir un roulement plus
rationnel et de laisser à l'agriculture ou à la cueillette des
produits naturels, aux moments opportuns, un plus grand
nombre de bras. Ce sont les volontaires qui ont, les premiers,
manifesté le désir de prolonger leur engagement ; puis, d'autres
indigènes, arrivés au terme de leur contrat, demandaient « un
papier » pour pouvoir revenir, après une courte visite à leurs
proches. Le salaire est de 2 fr. 60 pour les ouvriers, 2 fr. 15 pour
les surveillants, chefs d'équipes, écrivains ; 0 fr. 75 pour les
manœuvres.
Au 31 décembre 1925, il avait été dépensé, depuis l'ouverture
des chantiers, 3.400.000 trancs en salaires indigènes.
Des boutiques ambulantes, installées à proximité des lieux de
travail et dont les prix de vente sont rigoureusement contrôlés,
permettent aux travailleurs de se procurer les menus objets
qui les tentent.
Au 31 décembre 1925, il avait été dépensé depuis l'ouverture
des chantiers 5.600.000 francs en vivres.
même race, autant que possible, à un entraînement progressif,
afin d'éviter la fatigue du début. Peu à peu ils sont sélectionnés
et spécialisés, suivant leurs aptitudes et leur résistance
physique.
La journée de travail est de neuf heures: quatre heures, le
matin; repas et repos de 11 heures à 1 heure, sous des abris
aménagés sur les chantiers ; reprise du travail jusqu'à six heures.
Retour au campement voisin où la cuisine est préparée,
moyennant un salaire de 0 fr. 50 et la ration, par des femmes
de la tribu, admises en nombre convenable.
Les travailleurs ont la disposition du samedi après-midi pour
procéder au nettoyage de leur linge ou pour leurs ablutions
complètes soit sous les prises d'eau d'eau installées le long des
chantiers, soit, ce qu'ils préfèrent, dans les rivières voisines, très
abondantes et très limpides. Le dimanche est consacré aux
réjouissances.
Engagés d'abord pour six mois, les nouveaux travailleurs
font maintenant un séjour de neuf mois, jours de repos compris.
En raison de l'importance et de la durée des travaux, du souci
de ne recruter que dans les régions !es plus voisines, du fait
constaté que le travail aux chantiers avec sa régularité, son
alimentation quotidienne carnée, la distribution de quinine,
développe singulièrement les individus, il est apparu qu'une
prolongation de trois mois permet d'établir un roulement plus
rationnel et de laisser à l'agriculture ou à la cueillette des
produits naturels, aux moments opportuns, un plus grand
nombre de bras. Ce sont les volontaires qui ont, les premiers,
manifesté le désir de prolonger leur engagement ; puis, d'autres
indigènes, arrivés au terme de leur contrat, demandaient « un
papier » pour pouvoir revenir, après une courte visite à leurs
proches. Le salaire est de 2 fr. 60 pour les ouvriers, 2 fr. 15 pour
les surveillants, chefs d'équipes, écrivains ; 0 fr. 75 pour les
manœuvres.
Au 31 décembre 1925, il avait été dépensé, depuis l'ouverture
des chantiers, 3.400.000 trancs en salaires indigènes.
Des boutiques ambulantes, installées à proximité des lieux de
travail et dont les prix de vente sont rigoureusement contrôlés,
permettent aux travailleurs de se procurer les menus objets
qui les tentent.
Au 31 décembre 1925, il avait été dépensé depuis l'ouverture
des chantiers 5.600.000 francs en vivres.
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