Presse et revues
230 pages
Titre : Journal d'agriculture tropicale : agricole, scientifique et commercial / dir. Jean Vilbouchevitch
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1912-12-31
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb343782789
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 6892 Nombre total de vues : 6892
Description : 31 décembre 1912 31 décembre 1912
Description : 1912/12/31 (A12,N138). 1912/12/31 (A12,N138).
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6446837x
Source : CIRAD, 2012-235759
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 27/02/2013
N. 130 — AVRIL 1912 JOURNAL D'AGRICULTURE TROPICALE - 61
l'extraction des sulfures de plomb et de zinc.
>ous sommes obligés de passer sous silence quan-
tité d'autres indications sur les essences d'origine
tropicale, et renvoyons à la lecture du Bulletin
ceux que la chose intéresse : ils y trouveront les
idées précises qu'on a coutume de rencontrer chez
les rédacteurs de ce travail.]
2378. Watts (Francis) : Coconut cultivation in
the West Indies — Petit in-o, 46 p., 19 fig.
Publié par le Département de l'Agriculture des
Indes Occidentales. LDestiné aux planteurs antil-
lais que la hausse des prix des produits du coco-
tier engagerait à planter des cocotiers. Il existe
dans les Antilles de nombreux endroits convenant
parfaitement à cette culture, mais il en est
d'autres pour lesquels il est nécessaire de prendre
certaines précautions pour ne pas risquer un
échec. Les données générales ne présentent pas
de différences avec celles qu'on rencontre ailleurs,
et, du reste, nous croyons qu'au point de vue
culture tout ou à peu près tout a été dit sur le
cocotier. Les renseignements sur la production
sont seulement un peu sommaires. La partie
maladies et ennemis est bien traitée par
MM. A. Ballou et F. W. South, entomologiste et
pathologiste du Département. — F. M.]
2379. Mohr (Dr E. C. Jal.) : Ersebnisse mechani-
scher analysen tropischer Bôdpn, in-8°, 73 p. et
diagr. Publié par le Department van Landbouw,
Java, 1911. [Application à des cas particuliers et
principalement aux divers sols de l'île de Java, des
méthodes exposées dans une première partie ana-
lysée ici même, sous le § 2221 (n° 121). Les sols
sont classés par formation géologique, primaires,
secondaires et alluvions. Surtout intéressant au
point de vue local. ]
2380. Fiori (Prof. Adriano) : Boschi e Piante
legnose dell' Eritrea. — In-8°, 428 p. 177 fig. et
2 pl. Tirage à part de l' « Agricoltura Coloniale »,
Firenze, 1912. [Cette étude a paru dans les
numéros de 1911 de notre confrère l'« Agricoltura
Coloniale », où elle a été fort remarquée. C'est la
description systématique des plantes ligneuses et
arborescentes de l'Erythrée, avec l'indication des
noms scientifiques, des noms indigènes locaux et
la nomenclature des lieux où se trouve chacune
d'elles. Œuvre purement botanique, accompagnée
de dessins schématiques très clairs, dont recon-
naîtront l'utilité tous ceux qui ont eu, à un titre
quelconque, à s'occuper de l'identification des
plantes tropicales d'après des échantillons défec-
tueux. dénaturés le plus souvent par le transport,
et d'une détermination difficile. Elle est précédée
de quelques considérations sur le déboisement de
l'Erythrée, et sur les mesures à prendre pour en
assurer le reboisement. Au début, une étude sur
- les caractères de la végétation arborescente en
Erythrée, ornée de fort belles photographies, et
sur les diverses zones climatériques de la région
envisagées au point de vue forestier. Travail de très
longue haleine, qui contribuera beaucoup à la
connaissance économique, à laquelle on doit
toujours arriver en dernier ressort, de la flore de
l'Erythrée.]
2381. Lee (A. h.) : The ostrich industry in the
United States. - In-8,1 de 6 p., 3 pl. Tirage à pari
du 30e Rapport annuel du Bureau of Animal
Industry. U. S. Department of Agriculture, Was-
hington, 1911. [L'industrie de l'autruche est encore
dans son enfance aux Etats-Unis, aussi cette bro-
chure n'est-elle forcément pas très étendue, ni
très complète. Elle montre tout au moins que la
question n'est pas délaissée, car l'autruche, d'après
les premiers essais entrepris, vient bien dans les
Etats d'Arizona, Arkansas, Californie, Floride et
Texas, malgré les différences de climat qui
peuvent exister entre eux. C'est l'Arizona qui
vient en tête de beaucoup, puis la Californie, et
une des planches nous montre un troupeau vivant
dans cette région. Bien entendu, dans ce pays du
machinisme, la question des couveuses artificielles
est traitée avec détails. Mais dans son ensemble,
cette brochure ne fait que prendre date.]
2382. Sculier (.1. J.) : Catalogue des ouvrages
spéciaux de langue française concernant l'indus-
trie sucrière, in-8°, 340 p. Paris, 1911. [Le relevé
de tout ce qui a été publié sur le sucre et l'indus-
trie sucrière n'a, croyons-nous, jamais été dressé.
Il est donc particulièrement intéressant de voir,
condensés en un seul volume, la prodigieuse quan-
tité de volumes ou d'articles auxquels a donné lieu
cette industrie. Il y a non seulement ce qui a trait
à l'industrie, mais aussi tout ce qui concerne la
législation, très complexe, de la question sucrière.
S'il faut exprimer un regret, c'est qu'il ne s'agisse
que des ouvrages de langue française, car la
bibliographie internationa!e sur le même sujet
serait spécialement instructive. Il est certain, en
effet, qu'en Allemagne, en Hollande et dans les
colonies anglaises et espagnoles, il a été publié
autant, sinon plus, qu'en France, et la bibliogra-
phie complète serait certainement la plus volumi-
neuse de toutes celles auxquelles ont donné lieu
juequ'ici les divers produits coloniaux; il y a lieu
toutefois, dans cette appréciation, de tenir compte
de ce fait que, pour tout ce qui concerne la partie
législation, la betterave tient une place peut-être
supérieure à celle qu'occupe la canne.].
2383. Jong (Dr A. W. K. de) : De bereiding van
zondroge copra. In-8°. 9 p. Tirage à part du
«Teysmannia», n° 7,1911, réédité par le Department
van Landbouw. Batavia, 1911. [L'auteur étudie
d'abord la teneur en eau du coprah séché, qui
est voisine de li 0,0. Les échantillons qu'il a. obser-
vés étaient au bout de deux mois, dans un état
de dessiccation donnant de 4,2 à o,9 ° /0 d'eau,
tandis que les coprahs du commerce donnent géné-
ralement de 5,8 à 10,5 ° 0 d'eau. Puis il aborde
l'action du soufre sur le coprah humide et sur le
coprah sec. Le soufre, recommandé pour éviter la
détérioration en cours de transport, pénètre en
réalité fort peu dans le coprah sec ; il pénètre mieux
dans le coprah frais, mais n'est pas suffisant pour
empêcher les moisissures. Enfin, il a fait des
recherches sur l'influence des mites, dont la pré-
Voir la suite page 63
l'extraction des sulfures de plomb et de zinc.
>ous sommes obligés de passer sous silence quan-
tité d'autres indications sur les essences d'origine
tropicale, et renvoyons à la lecture du Bulletin
ceux que la chose intéresse : ils y trouveront les
idées précises qu'on a coutume de rencontrer chez
les rédacteurs de ce travail.]
2378. Watts (Francis) : Coconut cultivation in
the West Indies — Petit in-o, 46 p., 19 fig.
Publié par le Département de l'Agriculture des
Indes Occidentales. LDestiné aux planteurs antil-
lais que la hausse des prix des produits du coco-
tier engagerait à planter des cocotiers. Il existe
dans les Antilles de nombreux endroits convenant
parfaitement à cette culture, mais il en est
d'autres pour lesquels il est nécessaire de prendre
certaines précautions pour ne pas risquer un
échec. Les données générales ne présentent pas
de différences avec celles qu'on rencontre ailleurs,
et, du reste, nous croyons qu'au point de vue
culture tout ou à peu près tout a été dit sur le
cocotier. Les renseignements sur la production
sont seulement un peu sommaires. La partie
maladies et ennemis est bien traitée par
MM. A. Ballou et F. W. South, entomologiste et
pathologiste du Département. — F. M.]
2379. Mohr (Dr E. C. Jal.) : Ersebnisse mechani-
scher analysen tropischer Bôdpn, in-8°, 73 p. et
diagr. Publié par le Department van Landbouw,
Java, 1911. [Application à des cas particuliers et
principalement aux divers sols de l'île de Java, des
méthodes exposées dans une première partie ana-
lysée ici même, sous le § 2221 (n° 121). Les sols
sont classés par formation géologique, primaires,
secondaires et alluvions. Surtout intéressant au
point de vue local. ]
2380. Fiori (Prof. Adriano) : Boschi e Piante
legnose dell' Eritrea. — In-8°, 428 p. 177 fig. et
2 pl. Tirage à part de l' « Agricoltura Coloniale »,
Firenze, 1912. [Cette étude a paru dans les
numéros de 1911 de notre confrère l'« Agricoltura
Coloniale », où elle a été fort remarquée. C'est la
description systématique des plantes ligneuses et
arborescentes de l'Erythrée, avec l'indication des
noms scientifiques, des noms indigènes locaux et
la nomenclature des lieux où se trouve chacune
d'elles. Œuvre purement botanique, accompagnée
de dessins schématiques très clairs, dont recon-
naîtront l'utilité tous ceux qui ont eu, à un titre
quelconque, à s'occuper de l'identification des
plantes tropicales d'après des échantillons défec-
tueux. dénaturés le plus souvent par le transport,
et d'une détermination difficile. Elle est précédée
de quelques considérations sur le déboisement de
l'Erythrée, et sur les mesures à prendre pour en
assurer le reboisement. Au début, une étude sur
- les caractères de la végétation arborescente en
Erythrée, ornée de fort belles photographies, et
sur les diverses zones climatériques de la région
envisagées au point de vue forestier. Travail de très
longue haleine, qui contribuera beaucoup à la
connaissance économique, à laquelle on doit
toujours arriver en dernier ressort, de la flore de
l'Erythrée.]
2381. Lee (A. h.) : The ostrich industry in the
United States. - In-8,1 de 6 p., 3 pl. Tirage à pari
du 30e Rapport annuel du Bureau of Animal
Industry. U. S. Department of Agriculture, Was-
hington, 1911. [L'industrie de l'autruche est encore
dans son enfance aux Etats-Unis, aussi cette bro-
chure n'est-elle forcément pas très étendue, ni
très complète. Elle montre tout au moins que la
question n'est pas délaissée, car l'autruche, d'après
les premiers essais entrepris, vient bien dans les
Etats d'Arizona, Arkansas, Californie, Floride et
Texas, malgré les différences de climat qui
peuvent exister entre eux. C'est l'Arizona qui
vient en tête de beaucoup, puis la Californie, et
une des planches nous montre un troupeau vivant
dans cette région. Bien entendu, dans ce pays du
machinisme, la question des couveuses artificielles
est traitée avec détails. Mais dans son ensemble,
cette brochure ne fait que prendre date.]
2382. Sculier (.1. J.) : Catalogue des ouvrages
spéciaux de langue française concernant l'indus-
trie sucrière, in-8°, 340 p. Paris, 1911. [Le relevé
de tout ce qui a été publié sur le sucre et l'indus-
trie sucrière n'a, croyons-nous, jamais été dressé.
Il est donc particulièrement intéressant de voir,
condensés en un seul volume, la prodigieuse quan-
tité de volumes ou d'articles auxquels a donné lieu
cette industrie. Il y a non seulement ce qui a trait
à l'industrie, mais aussi tout ce qui concerne la
législation, très complexe, de la question sucrière.
S'il faut exprimer un regret, c'est qu'il ne s'agisse
que des ouvrages de langue française, car la
bibliographie internationa!e sur le même sujet
serait spécialement instructive. Il est certain, en
effet, qu'en Allemagne, en Hollande et dans les
colonies anglaises et espagnoles, il a été publié
autant, sinon plus, qu'en France, et la bibliogra-
phie complète serait certainement la plus volumi-
neuse de toutes celles auxquelles ont donné lieu
juequ'ici les divers produits coloniaux; il y a lieu
toutefois, dans cette appréciation, de tenir compte
de ce fait que, pour tout ce qui concerne la partie
législation, la betterave tient une place peut-être
supérieure à celle qu'occupe la canne.].
2383. Jong (Dr A. W. K. de) : De bereiding van
zondroge copra. In-8°. 9 p. Tirage à part du
«Teysmannia», n° 7,1911, réédité par le Department
van Landbouw. Batavia, 1911. [L'auteur étudie
d'abord la teneur en eau du coprah séché, qui
est voisine de li 0,0. Les échantillons qu'il a. obser-
vés étaient au bout de deux mois, dans un état
de dessiccation donnant de 4,2 à o,9 ° /0 d'eau,
tandis que les coprahs du commerce donnent géné-
ralement de 5,8 à 10,5 ° 0 d'eau. Puis il aborde
l'action du soufre sur le coprah humide et sur le
coprah sec. Le soufre, recommandé pour éviter la
détérioration en cours de transport, pénètre en
réalité fort peu dans le coprah sec ; il pénètre mieux
dans le coprah frais, mais n'est pas suffisant pour
empêcher les moisissures. Enfin, il a fait des
recherches sur l'influence des mites, dont la pré-
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