Coton et culture cotonnière / périodique ... publié par l'Agence générale des colonies

Presse et revues

50 pages

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- Position actuelle de la rayonne courte devant le coton, par O. ROEHRICH
  .......... Page(s) .......... 53
- Sur l'analyse et la composition des duvets de graines de cotonnier (Gossy- pium-Malvacées), par Georges BROOKS
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- EXTRAITS ET ANALYSES
  .......... Page(s) .......... 73
  - Biologie des cotonniers,
    .......... Page(s) .......... 73
  - Génétique, Sélection,
    .......... Page(s) .......... 74
  - Maladies cryptogamiques,
    .......... Page(s) .......... 80
  - Animaux nuisibles,
    .......... Page(s) .......... 83
  - Sols, Engrais,
    .......... Page(s) .......... 87
  - Récolte. Préparation du produit pour expédition et vente,
    .......... Page(s) .......... 89
- INFORMATIONS RELATIVES AUX CENTRES COTONNIERS
  .......... Page(s) .......... 95
  - Egypte
    .......... Page(s) .......... 95
  - Indes
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  - Etats-Unis
    .......... Page(s) .......... 99

EXTRAITS ET ANALYSES "7

On remarque que les formes constantes sont plus vite obtenues en
croisant des séries qui ont un nombre différent de chromosomes.

N.-N. KONSTANTINOV. Fhotoperiodism of the cotton plant.

(Photopériodisme du cotonnier.) Lenin. Acad. Agr. Sei., Res. Cotton
Inst. Middle Asia, 1934, p. 80.

Des recherches ont été poursuivies, de 1929 à 1932, sur cinq
variétés de cotonnier, à la Station de l'Institut de Recherches Coton-
nières de l'Asie Centrale Ces variétés étaient soumises à une illumi-
nation quotidienne de six, neuf et douze heures, et quatorze à quinze
en été.

Voici les conclusions de cette étude : le cotonnier peut être placé
parmi les plantes qui se développent avec un jour de courte durée.

La longueur du jour qui produit les meilleures réactions photopério-
diques pour les différentes variétés cotonnières s'étend de 8 à 12 heures.

Si on diminue la durée de l'éclairement, on abaisse le taux de floraison.

Il y a là corrélation entre la réaction photcpériodique et l'origine géo-
graphique du cotonnier qui se développe dans les régions tropicales à
éclairement intense.

On décrit trois types de réactions photopériodiques. Pour le genre
Gossypium, par exemple, il y a une grande variété d'adaptation à la
périodicité de l'éclairement. L'auteur croit que ce caractère peut être
employé dans un but taxonomique. Ce facteur a dû jouer un rôle
important dans la distribution géographique des diverses espèces de
cotonniers. On pense qu'on pourra appliquer les méthodes d'éclairement
au développement et à l'hybridation de meilleures variétés commerciales.

A.-R. LAMBERT. New Sakel strains in the anglo-egyptian
Sudan. (Nouvelles races de Sakel au Soudan anglo-égyptien.) The
Empire Cotton Crowins Revient, vol. XV, n° 1, janv. 1938, pp.

14-20.

De 1923 à 1933, l'auteur a obtenu plusieurs sélections de Sakel
en culture irriguée à Gezira; parmi celles-ci, trois méritent de retenir
l'attention parce qu'elles sont d'un intérêt général, ce sont X 1530,
X 1 730 et Lecrem, les deux premières en raison de leur histoire et

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